Quatrième partie : La poésie comme lumière, énergie
puissance de paix. A l’ivresse de nos heures fécondes Aux âmes furtives et vagabondes Aux caresses de nos nuits solidaires Aux cris d’amour, à nos enfers. A l’éternel, à l’éphémère A la tendresse, à nos colères, A la force, à nos faiblesses Devant les hommes qui nous oppressent Dans les ténèbres de nos nuits, Là où ta lune se blottit, Aux noirs de ton corps dévêtu Là où mes songes se mettent à nu. Elles riment au vent qui les emmène, Aux bords de tes lèvres souveraines Lorsque ta langue sucrée câline, Les mots, les vers, s’encoquinent. J'entends encore ta poésie Griffonner sur le bord du lit, Là où nos cœurs se font la coure, Là où nos corps se font l’amour. Lorsque la nuit ouvre ses ailes, Aux bienveillances de tes dentelles Et qu'elle te picore de baisers, Je sens tes lèvres frissonner. Dans la constellation des mots, Il y a des étoiles qui s'font la peau, Et quand Vénus livre ses charmes, Elles se rendent et posent leurs armes, Les mots sont plus forts, que vos guerres, Messieurs de la chose militaire, La poésie, c’est l’âme sœur, Celle qui vous touche avec le cœur. Paroles et musique: Robert Nicollet. Si vous voulez visionner la totalité du conte, cliquez ici https://chansonprintaniere.blogspot.com/2019/08/ailleurs-est-la-lumiere.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire