mardi 16 mars 2021

Je t'adore...

 

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Dans le froid de mes nuits blanches,
Dans les glaciers de mes couvertures
Dans les torrents, mes avalanches
Et sur le lac de mes gerçures.
Sur la neige vierge éternelle
J'écris ton nom en lettres d'amour
Pour qu’elles s'envolent au bout du ciel,
Et te retrouvent chaque jour.
Je t’adore… Je t’adore…
 
Sur les longues dunes de sable ambré,
Sur la plage où nos vagues prolongent
Les ondes bleues éclaboussées
Par l’écume blême qui s’allonge.
Sur le ciel noir, comblé d’étoiles,
Où même la lune, cherche sa moitié,
Sur l’horizon, où se dévoile,
Un tôt matin, trop embrumé.
Je t’adore… Je t’adore…
 
Sur mes sentiers très torturés,
Où tu es là comme une lumière,
Où ton amour est sublimé,
Par tes yeux des plus beaux verts.
Tu es la belle, en majuscule
Et tu rayonnes comme une étoile,
Ma vie s'éveille et se bouscule
Elle a tant de choses en bataille.
Je t’adore… Je t’adore…
 
Sur cet arc-en-ciel, qui m’explose,
Comme un feu d'artifice d'amour,
Sur tes lèvres où, je dépose
Les plus fougueux baisers du jour...
Sur la fusion de nos deux corps,
Entrelacés, de nos caresses,
Soudés par nos désirs si forts,
Grisé du graal de nos ivresses.
Je t’adore… Je t’adore…
 
Sur tes gorges en symphonie,
Où ton souffle se libère,
Sur tes murmures de poésie,
Quand nos deux âmes se désaltèrent.
L’alcool exquis de nos baisers,
Le doux parfum de nos mélanges,
De nos étreintes, en volupté,
Nous enrichissent de nos vendanges.
Je t’adore… Je t’adore… Je t’adore… Je t’adore…
 
Paroles et musique : Robert Nicollet.


dimanche 14 mars 2021

Dis

 


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https://youtu.be/JRLuzA2hjTo


Dis, que restera-t-il de nous deux,
Quand on sera devenu vieux,
M’aimeras-tu encore, dis ?
Dis, est-ce que nous nous embrasserons,
Avec folie et passion,
M’aimeras-tu encore, dis ?
L’amour, c’est plus fort que le temps,
Ça s’accroche dans l’cœur des gens
Et quand ils rêvent sur leurs nuages,
L’amour tu sais n’a pas d’âge…
 
Dis, nos désirs seront-ils forts
Nos mains posées sur nos corps
Nous nous aimerons encore, dis ?
Dis, dormirons nous enlacés,
Nos corps dans la nuit, noués,
Jusqu’à notre dernier baiser ?
L’amour, c’est plus fort que le temps,
Ça s’accroche dans l’cœur des gens
Et quand ils rêvent sur leurs nuages,
L’amour tu sais n’a pas d’âge…
 
Dis, est-ce que je te plairais toujours ?
Est-ce qu’on aimera faire l’amour ?
Au lueur du tout petit jour…
Dis, est-ce que nos corps auront faim,
Des caresses douces du matin,
Dis moi, qu’on s’aimera toujours…
L’amour, c’est plus fort que le temps,
Ça s’accroche dans l’cœur des gens
Et quand ils rêvent sur leurs nuages,
L’amour tu sais n’a pas d’âge…
Dis, n’aies pas peur, mon Amour,
Si je t’aime, c’est pour toujours,
Tu es ma plus belle histoire d’amour,
Alors, le temps… c’est du discours…
 
Paroles et musique : Robert Nicollet.


mardi 9 mars 2021

Chambre 322

 


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https://youtu.be/g_iPcX6Hh0s


Dans cette chambre 322,
Qui s’allonge d’un beau ciel bleu,
Où l’horizon nous fait la coure,
Devant l’soleil de nos amours.
Dans cette chambre, on s’est aimé,
Toute la nuit, nos lunes brillaient,
Jusqu’au matin, nos yeux ouverts,
Verts contre bleus, bleus contre verts.
Mais quel beau rêve, ce soir d’été,
J’ai senti tes lèvres, et nos doux baisers.
Dans cette mer nous nous sommes baignés
Puis, sur cette plage, nous nous sommes aimés, aimés, aimés.
 
Ce nid d’amour, où nos corps s'étreignent,
Où la raison s’endort, où notre amour se baigne
Sous une pluie étoiles, aux lueurs d’arc en ciel,
Je sens ton parfum, m’enivrer d’étincelles.
Mon bateau chavire, noyé de tes vagues,
Nos mains s’agrippent, nos esprits divaguent,
Dans cette grande chambre, juste pour nous deux,
Etre juste heureux, être juste amoureux.
Mais quel beau rêve, ce soir d’été,
J’ai senti tes lèvres, et nos doux baisers.
Dans cette mer nous nous sommes baignés
Puis, sur cette plage, nous nous sommes aimés, aimés, aimés.
 
Combien de temps, faudra-t-il, ma belle,
Combien de jour, combien de semaine,
Faudra-t-il encore, attendre nos baisers,
Attendre nos caresses, attendre pour s’aimer.
Mon bel amour, il est temps tous les deux
Rendez-vous ce jour, chambre 322,
Pour que nos rêves d’amour, deviennent réalité
Qu’l’on conjugue au présent, le fait de nous aimer.
Mais quel beau rêve, ce soir d’été,
J’ai senti tes lèvres, et nos doux baisers.
Dans cette mer nous nous sommes baignés
Puis, sur cette plage, nous nous sommes aimés, aimés, aimés.
 
Paroles et musique: Robert Nicollet.


vendredi 5 mars 2021

L'écharpe blanche

 


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https://youtu.be/5dwaVgb6h98

 A notre éternel amour...


Cette belle écharpe en laine blanche
Où ton doux parfum, se blottit
Un peu de toi, en ce dimanche
Qui m’amène là, au paradis.
Elle me caresse, dans le cou,
Et me tient chaud sur les épaules,
Mais c’est au fond du cœur, surtout
Qu’elle me réchauffe, qu’elle me cajole.
 
Elle se faufile, effleure ma peau,
Comme une tendresse, comme un cadeau
Sur un « je t ‘aime » en bas du dos,
Pour me garder les reins bien chaud.
C’est un peu de toi, tout près de moi
La nuit arrive, les rêves viennent,
Elle est ici, pour qu’tu sois là,
Je te respire à en perdre haleine.
 
J’ai mis ton écharpe près de moi,
Dans ce grand lit toujours si froid,
T’imaginer, là, dans mes bras,
Et te serrer, jusqu’à l’émoi.
Et quand ton élixir d’amour,
Dévoile en moi tous ces arômes,
De forts désirs, naissent comme le jour,
Et tous les soirs, ils embaument.
 
Je suis grisé de tant d’amour,
L’esprit chavire, mon âme vacille,
Il m’emporte sur tes contours,
Dans la rosée de tes Antilles.
Dans la lumière de nos envies,
Dans la chaleur de nos plaisirs
Dans la flamme de nos délices,
Et la splendeur de nos désirs.
 
Je sens la douceur de ta laine,
Se poser sur ma peau tendue,
Je sens tes torrents de je t’aime,
Sur mon torse mis à nu.
Et je te rêve, dans les étoiles,
Nous partons loin, dans une autre île,
Ce radeau accroché à sa voile,
Et nous si forts, et si fragiles.
 
Que l’amour nous porte sur les mers
Nous surmonterons toutes les tempêtes,
Tous les tonnerres, tous les éclairs,
Les vagues deviendront vaguelettes.
Et les vents fous, sauront se taire…
Parce que l’amour est le plus fort,
Tout le reste n’est que sornette,
On s’aimera toutes voiles dehors.
 
Viens, mon bel amour, je t’emmène,
Nous porterons loin nos baisers,
Notre amour, sur des îles lointaines,
Là où nous pourrons, nous aimer.
Viens, les alizés nous attendent,
Nous volerons à leurs côtés,
Nous traverserons les océans,
Les mers du sud, les continents.
 
Ô, mon bel amour, je t’emmène,
Partons ailleurs, sur notre planète
Donne moi la main, ma douce reine
Partons l’amour sera notre quête.
Loin des regards et des routines
Loin de la haine, de la bêtise
S’aimer toujours sera notre hymne
Et l’on vivra en gourmandise…
 
 
Nos écharpes, nous deux…
 
Sur tes lèvres de soie, légèrement ouvertes,
Je dépose les miennes, pour t’offrir ma chaleur.
Je voyage dans ton cou, j’erre à la découverte,
Et, je butine tes dunes, j’en caresse la rondeur.
 
Leurs pointes raidies se dressent, et ta peau se tend,
Ta poitrine resplendit, et dévoile ses trésors,
J’en caresse les formes, en prenant tout mon temps,
Cet instant est heureux, mon désir est si fort.

Ton ciel couvert d’azur, et ton corps de déesse,
Me laisse porter l’amour, dans tes jardins secrets
Ta peau fine et lissée, accueille mes promesses,
Tes frissons amoureux, absorbent mes pensées.
 
Mes mains sont de velours, elles se posent sur ton dos,
Mes baisers sont sucrés et descendent doucement,
Vers tes reins en attente, de sentir mes cadeaux,
De goûter à l’ivresse, d’un voyage charmant.
 
Puis, nous nous unissons, nos chaleurs se soudent,
Nos corps ne font qu’un, et nos âmes se rassemblent,
Nous nous enlaçons, nos baisers nous saoulent
Et dans un infini plaisir, nous nous embrasons…
 
O, ma reine d’amour, la splendeur de mes nuits
Comme le temps se fait beau, quand nous sommes là, unis.
L’espace s’efface, et l’univers s’enfuit
Il ne reste que nous, au sommet du Fuji.
 
Il ne reste qu’amour, notre amour infini
Nos caresses tourbillonnent, virevoltent,
Nos mains se joignent, se serrent, s’agrippent
Nos esprits se libèrent en torrent, s’abandonnent.
 
Les anges de cupidon, nous fredonnent leur hymne
A nos baisers de flamme, à nos lumières de cristal,
A nos envies en tornade, aux passions de nos rimes,
Telle une poésie en fleur, qui offrirait ses pétales…
 
Nous nous aimerons si fort sous la lune arrondie
Arrondie, de nos mots écrits sur voie lactée,
Aux déliés de plume, écritoire de la nuit,
Où je baise ta peau, de mes lèvres affamées.
 
J’en déguste chaque fruit, appréciant leur bouquet,
Je croque à pleine chair, tes joyaux de déesse,
Dévorant du regard, tes yeux aux lacs perlés,
Où les torrents s’y jettent, en diamant d’allégresse.
 
Ils se dressent comme un phare, allumant l’horizon,
D’immenses soleils d’amour, en forme de cœur
Nos foudres libérées aux couleurs de passions,
Explosent dans l’ivresse, de nos corps vendangeurs.
 
Puis, nous nous endormons sur le lit des étoiles,
Enlacés dans les bras comme soudés à nos corps,
Le souffle à l’unisson, comme peint sur une toile,
Par un artiste peintre,  aux sublimes pinceaux d’or.
 
J’ai mis ta belle écharpe, ton écharpe d’amour
Je la mets à mon cou, contre moi, tous les jours.
 
Cette belle écharpe en laine blanche
Où ton doux parfum, se blottit
Un peu de toi, en ce dimanche
Qui m’amène là, au paradis.
Elle me caresse, dans le cou,
Et me tient chaud sur les épaules,
Mais c’est au fond du cœur, surtout
Qu’elle me réchauffe, qu’elle me cajole.
Mais c’est au fond du cœur, surtout
Qu’elle me réchauffe, qu’elle me cajole.


Paroles et musique: Robert Nicollet.