samedi 23 juillet 2022

Je ne veux plus aimer…

 


 


Si vous n'arrivez pas à lire cette vidéo, cliquez sur ce lien...


Je ne veux plus souffrir,
Je ne veux pleurer,
Plus me déchirer,
Plus me momifier,
J’prèfére m’en aller,
Au coin d’une solitude,
Et rester couché,
Dans un trou de lune.
Je ne veux plus chialer,
Aux silences de toi
Où tu t’es cachée
En me laissant là
Dans les larmes d’un ciel,
De nuages perlés,
Dans les souvenirs,
Au coin d’un soupir.
Je ne veux plus crier,
Je ne veux plus hurler,
Vomir toute ma peine,
Quand le soir m’enchaîne.
Je ne veux plus rêver,
Aux étoiles brillantes
Qui viennent raviver,
Ton manque, ton absence.
 
Je ne veux plus aimer,
Plus jamais, t’écrire
Des mots passionnés,
Que mon cœur transpire
J’préfère m’en aller,
Loin de notre belle île,
Être seul, m’isoler,
Des instants fragiles.
Les jours sont trop longs
Les nuits sont tempêtes
J’ai toujours ton nom
Qui erre dans ma tête
Quand le jour s’endort,
J’imagine ta voix
J’imagine ton corps
Et je t’imagine-toi.
Je ne veux plus crier,
Je ne veux plus hurler,
Vomir toute ma peine,
Quand le soir m’enchaîne.
Je ne veux plus rêver,
Aux étoiles brillantes
Qui viennent raviver,
Ton manque, ton absence.

Laisse moi t’embrasser,
Laisse moi t’enlacer,
Laisse moi poser là,
Mes mains sur toi.
Laisse moi murmurer,
Des mots doux, secrets,
Que j’aurais forger,
Du bout d’un baiser
Laisse-moi retrouver,
Ces moments d’ivresse,
Où nous nous aimions,
Le soir d’allégresse,
Où nos étoiles brillaient,
Sur un ciel de lune,
Et l’on poèmisait,
L’amour, sans autre fortune.
Je ne veux plus crier,
Je ne veux plus hurler,
Vomir toute ma peine,
Quand le soir m’enchaîne.
Je ne veux plus rêver,
Aux étoiles brillantes
Qui viennent raviver,
Ton manque, ton absence.
Paroles et musique : Robert Nicollet.


dimanche 12 juin 2022

Chaque jour, je t’attends.

 


Si vous n'arrivez pas à lire cette vidéo, cliquez sur ce lien.

 

J’aimerai t’écrire, des mots couleurs de miel,
Des mots à la saveur d’un amour éternel,
Lorsque le jour se lève et se mouille des pluies,
Aux lueurs du printemps, de cet après-midi.
J’aimerai dessiner les plus nobles des lettres,
Pour coudre mots à mots, des colliers de « peut  être »
Des lettres brodées de soie, au fil de notre amour
Qui te parleront de nous, comme au premier jour.
Tu es l’âme de mes « je t’aime »,
D’mes mélodies, mes poèmes,
D’mes rêves de chaque instant,
Et chaque jour, je t’attends, je t’attends.
 
Nous plongerons nos plumes, dans ce bel encrier,
Où l’encre se fera torrent et fougue, nos baisers
Nous dessinerons nos vers, des plus beaux déliés,
Pour qu’ils vacillent d’amour sur la soie du papier.
Des lettres en majuscule, au parfum d’l’air du temps.
Juste comme un frisson, sur ta peau fine d’argent.
Le temps se f’ra timide, il n’osera plus passé,
Nous aurons plus qu’une vie, toute une éternité.
Tu es l’âme de mes « je t’aime »,
D’mes mélodies, mes poèmes,
D’mes rêves de chaque instant,
Et chaque jour, je t’attends, je t’attends.
 
Chacune de nos voyelles saura se faire rebelles.
Quand nos briseurs de rêves, se montreront cruels,
Nous y mettrons nos rimes, nos vers et nos poèmes,
Nous rallumerons aussi, nos plus beaux « je t’aime ».
Alors, nous chanterons, nos cœurs vêtus d’ivresse,
Nos souffles à l’unisson, bercés de nos caresses,
Et dans le bleu du ciel, juste au bord de la mer,
Nous nous embraserons, au feu de nos lumières.
Tu es l’âme de mes « je t’aime »,
D’mes mélodies, mes poèmes,
D’mes rêves de chaque instant,
Et chaque jour, je t’attends, je t’attends.


Paroles et musique : Robert Nicollet.




lundi 30 mai 2022

Notre amour sera le plus fort.

 








Tu es les plumes de mes ailes,
Le vent troublant des migrateurs,
L’insolence, douce et rebelle,
Aux bouffées de tes splendeurs.
Tu es la lune quand elle est pleine,
Lorsque ses cratères explosent,
Des baisers de porcelaine,
Que la nuit souvent expose.
Alors, ma belle, je reste là,
Comme un idiot, juste à ta porte,
Tu sais, je sais bien qu’ici bas,
Notre amour sera le plus fort.
 
Tu es le parfum de mes nuits,
Dans les bras de l’infini,
Quand nos matins de poésie
S’écrivent sur les rives de notre lit.
Lorsque qu’un rayon de lumière,
Vient se plonger en rapace,
Et, que se fondent nos lèvres,
A notre amour en voyage.
Alors, ma belle, je reste là,
Comme un idiot, juste à ta porte,
Tu sais, je sais bien qu’ici bas,
Notre amour sera le plus fort.
 
Tu es la couleur verte des lacs,
Où les nuages viennent se baigner,
Cueillir quelques gouttes d’orage
Pour les semer sur nos étés.
Tu es cette pierre d’émeraude,
Qui vient se blottir dans tes yeux,
Là où l’envie se fait maraude,
Où tout brille de merveilleux.
Alors, ma belle, je reste là,
Comme un idiot, juste à ta porte,
Tu sais, je sais bien qu’ici bas,
Notre amour sera le plus fort.
 
Tu es l’or, tu es lumière,
Tu es le rouge de tes baisers,
Tu es le temps, sans l’éphémère,
Tu es passion, tu es beauté.
Tu es caresse, douce sirène
Jusqu’au bout de tes océans
Et tes longues vagues t’emmènent
Embrasser mes plages d’argent.
Alors, ma belle, je reste là,
Comme un idiot, juste à ta porte,
Tu sais, je sais bien qu’ici bas,
Notre amour sera le plus fort.
Le plus fort.
Paroles et musique : Robert Nicollet.

mercredi 4 mai 2022

D'un amour éternel...

 
 




A l'étoile du Nord, à son écharpe blanche, et à ses yeux d"émeraude...


Laisse moi te r’garder,
Laisse moi t’admirer
Laisse moi t’embrasser,
Laisse moi t’aimer,
Si fort,
Juste, poser mes mains,
Dans la brume de tes matins,
Sur la soie de ton corps,
Sur les dunes de tes aurores,
Dis-moi,
De doux mots d’amour,
Aux frontières de tes contours
Des mots caramel,
A la douceur du miel,
Murmure-moi,
Tes vers libres,
Ceux qui me rendaient ivre,
Qui m’emportaient l’esprit,
Aux rives de l’infini.
 
Je t’aime,
Serrons nous plus fort,
Nos bras seront nos ports
Nos souffles notre radeau
Nos lèvres seront notre eau
Et, tu sais,
Qu’je rêve de toi,
Dans le cachot d’mes effrois
Dans le silence et l’oubli,
Dans le vide de mes nuits.
Si tu
Pense encore à moi,
Tu sais je n’t’oublie pas,
Je reste là, près toi,
Ma vie, juste près de toi.
Juste près de toi.
Solo.
Tu sais,
Il est des mots si forts,
Qu’ils calment les vents du Nord,
Qu’ils éclairent les âmes fragiles
D’un amour pur et fertile.
Si le temps nous oublie,
Qu’importe ses aiguilles,
Je peindrais tes merveilles   
D’un amour éternel,
Eternel.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
 

vendredi 29 avril 2022

Ukraine, ma belle.

 


On ne sait plus comment les aider, de l'argent, des biens de première consommation, et puis montrer qu'on pense à eux, et qu'on est aussi solidaire par le cœur et la pensée... c'est le simple but de cette vidéo...


Oh Ukraine,

Oh ma reine,
Dieu que t’es belle de liberté,
Sous ton drapeau bleu et doré.
Toi qui résistes, qui lèves la tête,
Face à la folie des conquête
Face aux diktats du mépris,
De l’horreur et de la furie.
Oh, Ukraine,
Oh, ma reine,
Dieu que t’es belle de majesté…
Devant ces ruines et leur fumée,
J’entends les bombes qui t’assassinent,
Faisant des civils les victimes,
J’entends les chars et les avions,
Détruire tes immeubles, tes maisons.
Oh, Ukraine,
Oh, ma belle,
Combien de bâtiments rasés,
De théâtres et de musées.
Combien d’écoles et d’hôpitaux,
Tous tes chefs d’œuvre, tes idéaux,
C’est ta culture qu’il veut raser.
Détruire tes rêves de liberté,
Liberté.
Oh, Ukraine,
Oh, ma belle,
Ta démocratie, les fait trembler,
Ils ont peur de tes libertés,
Tes droits des hommes à décider,
A choisir qui doit gouverner,
Des droits à la libre pensée,
Lorsque chez eux c’est censuré.
Censuré. Censuré.
Oh ma reine,
Oh Ukraine,
 
Paroles et musique: Robert Nicollet.
 


lundi 18 avril 2022

Rue Baudelaire

 

 

Si vous n'arrivez pas à lire cette vidéo, cliquez sur ce lien...


Elle a des yeux d’un si beau vert,
Qu’les miens s’y perdent souvent
J’m’y baigne dans mes hivers,
Et mes chagrins foutent l’camp.
Elle a une fine bouche en cœur,
Qu’elle charme toutes mes pensées,
Et quand j’lui parle de bonheur,
Elle pose sur mes lèvres un baiser.
Ma belle, a de douces poésies dans l’âme,
Elle ne s’habille pas comme les grandes dames,
Elle préfère vivre là sans manière,
Dans ce deux pièces, rue Baudelaire.
 
Elle a de douces mains de fée,
Des mains qui savent dessiner,
Des doigts à fleur de pinceaux,
Lorsqu’elle les pose sur ma peau.
Elle a le souffle des zéphyrs,
La douce chaleur des mots,
Qu’elle susurre, plein de désirs,
Dans l’oreille derrière, mon dos.
Ma belle a de douces poésies dans l’âme,
Elle ne s’habille pas comme les grandes dames
Elle préfère vivre là sans manière,
Dans ce deux pièces, rue Baudelaire.
 
Elle a la voix, des tendres matins,
Lorsque l’réveil lui fait des clins d’oeil
Elle me sourit, puis elle me dit « viens »
On se recouche jusqu’à plus d’heure.
Ma belle est là, fragile comme le verre,
Elle a les plaies de sa vie d’hier,
Alors, je suis là, pour penser à elle,
Donner d’l’amour, du soleil.
Parce qu’elle a de douces poésies dans l’âme,
Elle ne s’habille pas comme les grandes dames
Elle préfère vivre là sans manière,
Dans ce deux pièces, rue Baudelaire.


Paroles et musique : Robert Nicollet.


dimanche 6 février 2022

Mon Amour, je te rêve, je t'aime, je t'attends...

 



J’ai vu le vert de tes yeux,
Crevé les tempêtes les plus folles,
J’ai vu, ton regard amoureux,
M’offrir tes trésors, tes opiums.
Nos chagrins obscurs nous dévorent
Mais notre amour est éternel,
Ils ont la violence des remords,
Et la tendresse de nos merveilles.
 
Ces nuits où le noir se fait roi,
Je défendrai nos feux d’amour,
Le sombre deviendra éclat,
Nos lumières seront nos toujours.
Nos ombres s’habilleront d’étoiles,
Nos soleils de reflets enflammés,
Et sur un ciel bleuté de soie
Nos âmes s’aimeront, sublimées.
Mon Amour,
Je te rêve, je t’aime, je t’attends…
 
Sur les ruelles de nos étés,
Nous marcherons, main dans la main
Ton visage sur mon épaule posée,
Je me ferai ainsi coussin.
Et si le froid devenait rebelle,
J’enroulerais ton écharpe blanche,
Autour de ton cou, ma belle
Notre secret, nos douces alliances.
 
 
Entends mon cri, comme un refrain,
C’est de l’amour, en éruption
Ce sont des vagues en parchemin,
Où chaque mot se fait passion.
C’est un cyclone, qui cligne de l’œil,
Dans la tempête de nos baisers,
Des fleurs d’amour que nos âmes cueillent,
De blanches pivoines, d’éclats nacrés.
Mon Amour,
Je te rêve, je t’aime, je t’attends…
 
Je t’écrirai de doux poèmes,
Sur les cirrus, de nos chemins,
Je broderai d’amour bohème
Tous les printemps de nos demains.
Et, si la lune nous chante rengaine,
Au cœur de nos nuits blanc satin,
Les étoiles seront nos totems,
L’univers sera dans nos mains.

Alors, le ciel fort de lumière,
Aux yeux de nos âmes symphoniques,
Nous offrira dans ses éclairs
L’éternité en harmonique.
On se saoulera de nos baisers,
A en vider tous nos alcools,
Nos esprits sauront chavirer,
Jusqu’au dernier de nos envols.
Mon Amour,
Je te rêve, je t’aime, je t’attends…
 
Paroles et musique : Robert Nicollet.

 

 


mardi 18 janvier 2022

Notre hymne.

 







Toi, qui te blottis, dans la nuit,
Pour border mes rêves d’envies
Toi qui viens là te froisser,
A la chaleur de mes baisers.
Toi, qui te dresses en majuscule,
Devant les reflets de la lune,
Ta silhouette en mal d’amour
Criant aux étoiles tes toujours.
Mon amour se lit, comme un vers,
Comme un poème, riche de ses rimes,
Comme une chanson faite pour te plaire
Qui deviendrait alors notre Hymne.
 
On s’est écrit tant de poèmes,
Pour se bercer de nos « je t’aime ».
Tant de mots doux, de vers en flamme
Tant de chansons aux mille gammes.
On a rêvé de beaux étés,
De soleil, de mer, d’alizés,
Transportés sur notre radeau,
En route pour notre El Dorado.
Mon amour se lit, comme un vers,
Comme un poème, riche de ses rimes,
Comme une chanson faite pour te plaire
Qui deviendrait alors notre Hymne.
 
Le temps s’étire, le temps s’allonge,
On a du mal à faire des ponts,
Nos mains tendues, se font fragiles,
Parce que la vie n’est pas facile.
Je pense à toi, ma muse blonde
Tes yeux, tes lèvres, toujours m’inondent
J’ai dans ma tête, des souvenirs,
Plein de bonheur, qui n’peuvent s’enfuir.
Mon amour se lit, comme un vers,
Comme un poème, riche de ses rimes,
Comme une chanson faite pour te plaire
Qui deviendrait alors notre Hymne.
 
Alors, ma belle, à la folie
Je t’aimerai plus qu’une seule vie,
Le temps, l’espace, se font petits,
Devant cet amour infini.
Mon amour se lit, comme un vers,
Comme un poème, riche de ses rimes,
Comme une chanson faite pour te plaire
Qui deviendrait alors notre Hymne.
Paroles et musique : Robert Nicollet.


lundi 10 janvier 2022

L'Amour... la mort...




Si vous n'arrivez pas à lire la vidéo, cliquez sur ce lien... Merci.


L'amour, la mort... il n'y a qu'un "U" pour nous sauver... et le "T" pour ne rien faire.... Extrait en fin de vidéo d'un texte utilisé pour une conférence sur la fin de vie...


L'amour ou la mort, c'est pareil,
ça vous claque fort dans les doigts,
ça vous poignarde, le cœur ouvert,
Chargé d'un sac de désespoir.
ça vous défonce au fond du noir,
La tête à l'envers, l'âme bue  
L'esprit chavirant, dans le soir,
Titubant jusqu'à l'ultime mue....
On ne meurt pas, on s'envole...
On se libère du poids de la vie...
On ne meurt pas, on caracole,
Dans l'entre soi de nos abîmes
On ne meurt pas, on s'endort
Le corps couvert de rêves et d'utopie,
Derrière les vagues du remord,
Caché, au monde du soi et du mépris,
De ses agressions systémiques.
Des mensonges en traîne savate,
Des images pantagruéliques,
Qui vous bouffent, jusqu'à la cravate.
On ne meurt pas, on plane,
On survole, on s'illumine...,
On rayonne, on se pavane,
On aime, on chavire, 
On s'étourdit, on s'enivre,
On se saoule, on se grise,
On ne meurt pas... on s'oublie...
Quand les trottoirs s'habillent d'ébène,
Les lampadaires s'allument de noir! 
Au fond d'une ruelle, seul, elle t'enchaîne
Te mets la gueule dans un placard.
Te mets la gueule dans un placard.
Paroles et musique: Robert Nicollet.