mardi 18 janvier 2022

Notre hymne.

 







Toi, qui te blottis, dans la nuit,
Pour border mes rêves d’envies
Toi qui viens là te froisser,
A la chaleur de mes baisers.
Toi, qui te dresses en majuscule,
Devant les reflets de la lune,
Ta silhouette en mal d’amour
Criant aux étoiles tes toujours.
Mon amour se lit, comme un vers,
Comme un poème, riche de ses rimes,
Comme une chanson faite pour te plaire
Qui deviendrait alors notre Hymne.
 
On s’est écrit tant de poèmes,
Pour se bercer de nos « je t’aime ».
Tant de mots doux, de vers en flamme
Tant de chansons aux mille gammes.
On a rêvé de beaux étés,
De soleil, de mer, d’alizés,
Transportés sur notre radeau,
En route pour notre El Dorado.
Mon amour se lit, comme un vers,
Comme un poème, riche de ses rimes,
Comme une chanson faite pour te plaire
Qui deviendrait alors notre Hymne.
 
Le temps s’étire, le temps s’allonge,
On a du mal à faire des ponts,
Nos mains tendues, se font fragiles,
Parce que la vie n’est pas facile.
Je pense à toi, ma muse blonde
Tes yeux, tes lèvres, toujours m’inondent
J’ai dans ma tête, des souvenirs,
Plein de bonheur, qui n’peuvent s’enfuir.
Mon amour se lit, comme un vers,
Comme un poème, riche de ses rimes,
Comme une chanson faite pour te plaire
Qui deviendrait alors notre Hymne.
 
Alors, ma belle, à la folie
Je t’aimerai plus qu’une seule vie,
Le temps, l’espace, se font petits,
Devant cet amour infini.
Mon amour se lit, comme un vers,
Comme un poème, riche de ses rimes,
Comme une chanson faite pour te plaire
Qui deviendrait alors notre Hymne.
Paroles et musique : Robert Nicollet.


lundi 10 janvier 2022

L'Amour... la mort...




Si vous n'arrivez pas à lire la vidéo, cliquez sur ce lien... Merci.


L'amour, la mort... il n'y a qu'un "U" pour nous sauver... et le "T" pour ne rien faire.... Extrait en fin de vidéo d'un texte utilisé pour une conférence sur la fin de vie...


L'amour ou la mort, c'est pareil,
ça vous claque fort dans les doigts,
ça vous poignarde, le cœur ouvert,
Chargé d'un sac de désespoir.
ça vous défonce au fond du noir,
La tête à l'envers, l'âme bue  
L'esprit chavirant, dans le soir,
Titubant jusqu'à l'ultime mue....
On ne meurt pas, on s'envole...
On se libère du poids de la vie...
On ne meurt pas, on caracole,
Dans l'entre soi de nos abîmes
On ne meurt pas, on s'endort
Le corps couvert de rêves et d'utopie,
Derrière les vagues du remord,
Caché, au monde du soi et du mépris,
De ses agressions systémiques.
Des mensonges en traîne savate,
Des images pantagruéliques,
Qui vous bouffent, jusqu'à la cravate.
On ne meurt pas, on plane,
On survole, on s'illumine...,
On rayonne, on se pavane,
On aime, on chavire, 
On s'étourdit, on s'enivre,
On se saoule, on se grise,
On ne meurt pas... on s'oublie...
Quand les trottoirs s'habillent d'ébène,
Les lampadaires s'allument de noir! 
Au fond d'une ruelle, seul, elle t'enchaîne
Te mets la gueule dans un placard.
Te mets la gueule dans un placard.
Paroles et musique: Robert Nicollet.