lundi 28 juin 2021

Les amants du soir.

 


Pour les téléphones portables, cliquez sur ce lien pour visionner la vidéo

 
Ils ont dans le cœur, des envies de bohème,
Sur le visage du bonheur, l’innocence de l’amour,
Une âme qui sent bon, et des sacs de je t’aime,
Des chemins dans les nuages, et du rêve en retour.
Ils ont le cœur arraché aux étoiles de la nuit,
Leur amour sur un nuage au-dessus d’l’infini.
On les retrouve souvent, à caresser la lune,
A s’aimer follement, dans une chambre d’infortune.
Les amants du soir,
Se fondent dans le noir,
Ils doivent se cacher,
Pour pouvoir s’aimer.
Nous nous cachons le jour,
Nous nous cachons la nuit,
Nous cachons notre amour
Pour qu’éclate à grands cris
Notre bel amour…
 
Ils ont le cœur en chamade dès qu’ils se retrouvent ici,
Dans leurs belles escapades, un nid en bout de nuit,
Alors, ils se serrent fort, se blottissent dans leur lit
S’embrassent avec passion, et s’aiment à l’infini.
On les retrouve au matin, les yeux dans leur île,
Comme s’ils avaient vécu leur nuit comme un exil,
Ils ont toujours l’esprit dans leurs rêves étoilés,
Et n’atterriront peut-être qu’en fin de journée.
Les amants du soir,
Se fondent dans le noir,
Ils doivent se cacher,
Pour pouvoir s’aimer.
Nous nous cachons le jour,
Nous nous cachons la nuit,
Nous cachons notre amour
Pour qu’éclate à grands cris
Notre bel amour…
 
Ils sont souvent distraits, parce qu’ils rêvent toujours,
Du matin, au lever, jusqu’à la fin du jour,
La nuit peut chialer, ils s’en foutent car ils sèment
Des soleils dans le noir, pour embraser leur « Je t’aime ».
Quand ils se retrouvent, le soir, la lune s’embellit,
Elle s’éclaire de leurs flammes, dans les bras de la nuit,
Leurs lèvres se font miel, leurs caresses folies,
Le monde est à eux, et ils s’aiment d’infini.
Les amants du soir,
Se fondent dans le noir,
Ils doivent se cacher,
Pour pouvoir s’aimer.
Nous nous cachons le jour,
Nous nous cachons la nuit,
Nous cachons notre amour
Pour qu’éclate à grands cris
Notre bel amour…
Paroles et musique : Robert Nicollet.
 

samedi 26 juin 2021

Je te dis je t'aime (version à la maison).





Pour les téléphones portables voici le lien pour visionner...

 
Je te dis je t’aime
Avec les mots que j’emmène,
Sur nos rêves les plus fous,
Nos images en bohème.
Je te dis je t’aime
Et mon Amour t’emmène
Là où le monde se fout
Des gens qui nous enchainent.
Là où le monde se fout
Des gens qui nous enchainent.
Là où nos cœurs vaincront
De tant et tant de haine.
Je te dis je t’aime
Avec les mots que j’emmène,
Pas même un canon,
Fera taire mes « je t’aime ».
 
Je te dis je t’aime
Avec les mots que je promène,
Sur nos éclats de rire,
Et nos moments de délires.
Je te dis je t’aime
A ton corps de Reine,
L’amour triomphera
Sur leur scène de haine.
L’amour triomphera
Sur leur scène de haine.
Et que la honte fasse taire,
Leur langage mercenaire.
Et, je te dis je t’aime
Avec les mots que je promène,
Notre amour est plus fort,
Que ses redresseurs de tort.
 
Je te dis je t’aime
Nos larmes ne sont pas veines
Elles se posent sur ta joue
Pour te laver tes peines.
Je te dis je t’aime
Il est tant que reviennent
Nos instants de plaisir
Qu’ils ont voulu détruire,
Nos instants de plaisir
Qu’ils ont voulu détruire,
Ces fous, ces bandits
Qui ont pillé nos vies,
Ces sinistres vautours
Ces briseurs d’amour,
Ces soldats du pire,
N’ont qu’à bien se tenir.
 
Paroles et musique: Robert Nicollet.




samedi 19 juin 2021

A nos matins de satin blanc.

 




A ma plus belle histoire d'Amour...


A la lueur des blancs matins,
Lorsque nos draps se font tapis,
A la douceur de nos câlins,
En plume d’or et en rubis.
Aux délicieux baisers passion,
Lorsque nos lèvres se frôlent
Sur les contours en unisson,
Chuchotant, nos mots doux s’affolent.
Ils effleurent la lumière des nuits.
Aux jaillissantes splendeurs dorées,
S'abreuvant jusqu'à la lie,
Du vin de nos accords parfaits.
Dégustant jusqu'à l'ivresse,
Les fous frissons voluptueux,
Verre après verre, nos coeurs en liesse,
Aux fins parfums spiritueux.
Inhalant le souffle brûlant,
De nos vapeurs consumées
Du désir fort et endiablant,
De nos étreintes emportées.
S'enivrant de nos purs alcools,
Sur nos deux corps embrasés
Là où nos arômes s’envolent
Aux plaisirs les plus poivrés.
Grisé et saoul, ivre d'amour,
Nos esprits embrumés et libres,
Nous nous enlaçons comme le jour,
Nos corps blottis dans leur coquille.
Dans cet écrin, où nos volcans,
Font souvent de belles éruptions
Nous vivons là, heureux, amants,
Nos convoitises en pleine fusion.
Quand le murmure de nos songes,
Se fera encore plus présent,
Alors nous fermerons les yeux,
Nous nous endormirons ensemble.
Nos rêves aux tableaux flamboyants,
Nos désirs aux tendres voluptés,
Dans ce sommeil encore naissant,
Nous saurons là, nous retrouver.
Nos nuits, recouverts de soies,
S'illumineront de leur clarté,
Nous savons nos chemins, nos voies,
A nos deux âmes tourmentées,
Puis, notre amour deviendra roi,
Dans le royaume de nous deux,
Qu'importe les écrits et les lois,
Si notre amour nous rend heureux.
A la couleur de tes yeux,
Aux traits sublimes de ton regard,
Je rajouterai les miens en bleu,
Pour t’admirer au tard du soir.
Au contour de tes lèvres ouvertes,
Où se dessine, les plus beaux baisers,
Je poserai ma bouche offerte,
Pour en déguster ta rosée.
A l’abri secret de ton cou,
Que tes longs cheveux blonds cachent,
J'abandonne quelques bisous
Aux pourtours de ta nuque en grâce
Sur la douceur de ta peau d’or,
Où mes caresses s'aventurent
Aux doigts agiles qui t’adorent
Qui t’effleurent jusqu’à l’épure.
J'écris mes mots et quelques vers,
Pour te les offrir en bouquet,
Comme les pivoines que tu préfères.
Mon amour infini, mon bel amour,
Ma plus belle histoire d’amour…
 
Aux étoiles de lumière,
Semées du flot de nos baisers,
Qui s’aventurent, qui se libèrent,
Dans le céleste de nos rêvés.
Aux francs soupirs qui s'évadent,
De nos bouches encore mêlées,
De nos emportées escapades,
Là où nos corps se sont trouvés.
Quand nos fougueux torrents se jettent
Dans le fleuve béant de l'ivresse,
Là, où le flot devient rebelle,
Et, s'abandonne à nos caresses
Comme des lueurs épanouies,
Aux destinées de nos levants,
Là, où nos horizons se figent,
Nos âmes se lient jusqu'au sang.
Sur notre radeau de l’infortune.
Enlacés l'un à l'autre, heureux,
Nous voguons seuls, à l’aventure
Unis, l'un pour l'autre, amoureux.
Nos coeurs bercés par l'infini,
Par cette quête, comme un soleil,
Par une immense graine de vie,
Qui nous emmène, nous ensoleille.
La mer peut se mettre en colère,
Les vagues saigner nos destinées
Le vent maudit cracher misère,
Le chant des sirènes résonner,
Comme de puissants acouphènes.
Nous porterons notre amour,
Bien plus haut que nos chaînes,
Nous dépasserons la lune pourpre,
Pour nous blottir dans notre Eden.
Loin des lunettes de conscience,
De l’œil guerrier des cyclopes
Loin des jalousies en démence
Des paranoïas de corridors…
 
Notre nid sera de blanc satin,
Night in white satin… 67... ?
Comme elle, nos nuits seront sans fin,
C’est le jardin de notre quête.
Là-bas, le temps n’existe pas
C’est un artifice de la mémoire,
Se souvenir, connais pas,
Une farce, on sculpte nos trous noirs,
On les arrange, comme ça nous va.
Il n’y a qu’un temps, le présent,
Volatile, fragile, éphémère,
Le futur ? du rêve en errance,
Le passé ? Une histoire en jachère.
Mon Amour,
Laissons nous porter par la mer,
Elle sait où notre île se plante,
Là où la paix couchera la guerre,
Au fond de crevasses béantes.
Notre amour lui, est éternel,
Parce qu’il est fort, parce qu’il est grand,
Nos fous baisers seront nos ailes,
Et notre amour, un beau roman.
Paroles et musique : Robert Nicollet.

mercredi 9 juin 2021

Lettre à ma belle.





Pour les téléphones portables, cliquer sur ce lien...



Bonjour ma belle, j’t’écris de loin,
Ici, y’a pas de quoi s’marrer,
C’est triste du soir au matin,
Et c’est pareil dans la journée.
Bien sûr, j’t’écris de doux poèmes,
Des petits vers comme des chansons,
Le verre se remplit de « je t’aime »
Sans que j’y fasse très attention.
Alors j’te rêve, sur notre belle île,
Où nous sommes bien, loin du monde,
Je sais, ma belle c’n’est pas facile
J’n’veux te perdre pour rien au monde.
 
Dis-moi bien vite quand tu reviendras,
Sur notre belle île à mes côtés,
Sur cette plage, j’t’attends là,
Il fait soleil, on va bronzer.
Jusqu’à très tard, on chantera,
Dans un bistrot de chansonnier,
Enfin, on écoutera du jazz,
Un verre de bière à déguster.
Puis, nous rêverons sur notre belle île,
Où nous sommes bien, loin du monde,
Je sais, ma belle c’n’est pas facile
J’n’veux te perdre pour rien au monde
 
Cette nuit d’été se fera belle,
La lune saura nous inspirer,
Et, dans ce lit, aux draps rebelles,
Nous nous aimerons, sans nous cacher.
Nos baisers, seront papillons,
Nos caresses en plume de paon,
Et sur ta peau, mes doigts feront,
Des cœurs d’amour comme des frissons.
Puis nous rêverons sur notre belle île,
Où nous sommes bien, loin du monde,
Je sais, ma belle c’n’est pas facile
J’n’veux te perdre pour rien au monde.
 
Je te cueillerai des étoiles,
Pour t’les offrir en gage d’amour,
Et qu’elles éclairent ton doux visage,
De beaux sourires, comme des toujours.
Je te serrerai dans mes bras,
Nos parfums se mélangeront,
Nos souffles deviendront nos flammes,
Et, nos deux cœurs s’emballeront.
Puis nous rêverons sur notre belle île,
Où nous sommes bien, loin du monde,
Je sais, ma belle c’n’est pas facile
J’n’veux te perdre pour rien au monde.
Paroles et musique : Robert Nicollet. 

mercredi 2 juin 2021

J'ai le blues de toi.

 

 


J’erre seul, saoul dans le silence,
Là où le noir se fait bitume,
J’entends l’écho de ton absence,
Se mêler à mes pas de brume.
Je m’enfonce las, dans cette nuit,
A trop vouloir rattraper le jour,
A s'inventer, jusqu'au déni,
Une poésie en mal d'amour.
J’ai le blues, j’ai le blues de toi.
 
A la recherche d’un soleil,
Qui éclairerait, mon âme vide.
Vide aux sanglots de la bouteille
A trop crouler, mon cœur se ride.
J’erre seul, grisé de solitude,
La tête absente, de l’automate,
Abandonnant mes certitudes,
Aux sacs poubelle de l'écarlate.
J’ai le blues, j’ai le blues de toi.
 
J'erre seul, sans cartes, ni boussole,
Rien que le pif, le souffle du vent,
Et, la lumière dans la rigole,
Arrosé d'eau par mauvais temps.
Je sais me cacher dans la foule,
Et rester seul, l'âme blottie,
J'entends le morne qui s'écroule,
Dans le vacarme des supplices.
J’ai le blues, j’ai le blues de toi.
 
Et mon esprit, devient tempête,
Mon âme explose aux éclairs.
Criant, hurlant dans ma tête,
Les grondements du tonnerre.
Mes tripes s'agrippent à mes angoisses,
A faire vomir toute ma détresse,
Elles me harcèlent, elles me fracassent,
Elles m'abreuvent jusqu'à l'ivresse.
J’ai le blues, j’ai le blues de toi.
 
Je sais mourir au manque d'amour,
Je sais les chemins, les raccourcis,
Ceux qui vous mènent, aux petits jours,
Dans les méandres de mes folies.
Le temps se cavale, s'étire, s'effrite,
J'en ai perdu toutes les aiguilles,
Seul, solitaire, j'erre en ermite,
Sur ces pavés, dans cette ville.
J’ai le blues, j’ai le blues de toi.
 
Reviendras-tu à moi, un jour?
Dans les sanglots de nos destins,
Ma quête se vêt d'un bel amour,
Il est cristal, pur et serein.
La vie, la mort là, n'ont plus cours
Le temps s’est tu, hier matin,
Du jour où la tornade fît court
A nos baisers, à nos câlins.
J’ai le blues, j’ai le blues de toi.
 
Paroles et musique : Robert Nicollet.