vendredi 29 avril 2022

Ukraine, ma belle.

 


On ne sait plus comment les aider, de l'argent, des biens de première consommation, et puis montrer qu'on pense à eux, et qu'on est aussi solidaire par le cœur et la pensée... c'est le simple but de cette vidéo...


Oh Ukraine,

Oh ma reine,
Dieu que t’es belle de liberté,
Sous ton drapeau bleu et doré.
Toi qui résistes, qui lèves la tête,
Face à la folie des conquête
Face aux diktats du mépris,
De l’horreur et de la furie.
Oh, Ukraine,
Oh, ma reine,
Dieu que t’es belle de majesté…
Devant ces ruines et leur fumée,
J’entends les bombes qui t’assassinent,
Faisant des civils les victimes,
J’entends les chars et les avions,
Détruire tes immeubles, tes maisons.
Oh, Ukraine,
Oh, ma belle,
Combien de bâtiments rasés,
De théâtres et de musées.
Combien d’écoles et d’hôpitaux,
Tous tes chefs d’œuvre, tes idéaux,
C’est ta culture qu’il veut raser.
Détruire tes rêves de liberté,
Liberté.
Oh, Ukraine,
Oh, ma belle,
Ta démocratie, les fait trembler,
Ils ont peur de tes libertés,
Tes droits des hommes à décider,
A choisir qui doit gouverner,
Des droits à la libre pensée,
Lorsque chez eux c’est censuré.
Censuré. Censuré.
Oh ma reine,
Oh Ukraine,
 
Paroles et musique: Robert Nicollet.
 


lundi 18 avril 2022

Rue Baudelaire

 

 

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Elle a des yeux d’un si beau vert,
Qu’les miens s’y perdent souvent
J’m’y baigne dans mes hivers,
Et mes chagrins foutent l’camp.
Elle a une fine bouche en cœur,
Qu’elle charme toutes mes pensées,
Et quand j’lui parle de bonheur,
Elle pose sur mes lèvres un baiser.
Ma belle, a de douces poésies dans l’âme,
Elle ne s’habille pas comme les grandes dames,
Elle préfère vivre là sans manière,
Dans ce deux pièces, rue Baudelaire.
 
Elle a de douces mains de fée,
Des mains qui savent dessiner,
Des doigts à fleur de pinceaux,
Lorsqu’elle les pose sur ma peau.
Elle a le souffle des zéphyrs,
La douce chaleur des mots,
Qu’elle susurre, plein de désirs,
Dans l’oreille derrière, mon dos.
Ma belle a de douces poésies dans l’âme,
Elle ne s’habille pas comme les grandes dames
Elle préfère vivre là sans manière,
Dans ce deux pièces, rue Baudelaire.
 
Elle a la voix, des tendres matins,
Lorsque l’réveil lui fait des clins d’oeil
Elle me sourit, puis elle me dit « viens »
On se recouche jusqu’à plus d’heure.
Ma belle est là, fragile comme le verre,
Elle a les plaies de sa vie d’hier,
Alors, je suis là, pour penser à elle,
Donner d’l’amour, du soleil.
Parce qu’elle a de douces poésies dans l’âme,
Elle ne s’habille pas comme les grandes dames
Elle préfère vivre là sans manière,
Dans ce deux pièces, rue Baudelaire.


Paroles et musique : Robert Nicollet.