lundi 25 mars 2024

Femme à Cuba (concert en appartement)

Merci pour l'organisation et la gentillesse de Daniella Coletta...





Mes yeux perchés sur tes soleils,
J’entends ta voix, ton cœur chanté
Femme de Cuba, femme du réveil
Tes mots, ta joie, tes libertés.
De Santiago à La Havane,
Ondule tes rythmes, marque tes pas
Sous ton ciel bleu, lumières safranes
Ouvre ton âme, ouvre tes bras.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba. 

Sur ta musique, la magie sonne
Dans mes entrailles, mes convictions
A tes paroles, mon cœur résonne,
Femme de charme, femme des passions
Dans ton combat, la vie est dure
Mais ton sourire, est des plus beaux
Femme de Cuba, Femme d’azur
Montre-moi la route, je ne sais plus trop.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba

Les enfants jouent dans les ruelles
Leurs rires les portent jusqu’à la nuit,
Il n’y a pas d’ombre, ni sentinelle,
Le jeu, la vie, sont grands amis,
Si le silence des clairs de lune
Trouve tes beaux yeux, ange du soir
C’est pour effeuiller une à une,
Les phrases d’amour, les cris d’espoir.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba. 

Je garderai de mon voyage
De belles images où tu seras
Femme aventure, femme courage
Je sais toujours que tu vaincras.
Ce grand pays, que tu construis
C’est des sourires, et pleins d’amour,
Cette belle île, un paradis,
Où l’amitié, c’est pour toujours.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba. 
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba. 
Femme infinie, femme à Cuba.
Femme infinie, femme à Cuba.
Paroles et musique: Robert Nicollet.

vendredi 22 mars 2024

"La ballade du trottoir" et La fille aux yeux cristal" à la terrasse d'un bistrot.

 


LA BALLADE DU TROTTOIR

Assise sur le trottoir,
Le trottoir de la rue.
Une rue sans histoire,
Une histoire sans issue.
Le regard dans le vide,
Plein de vide d’Amour.
Amour aux mille rides,
Mille rides de chaque jour.
La main vers l’autre tendue,
Tendue parce qu’elle a faim.
Faim et froid dans la rue,
La rue, sa rue sans fin.
Peut-être, serais-je l’autre,
Cet autre qui la regarde,
Peut-être qu’un jour ou l’autre.
Sans que j’y prenne garde.
Je serais dans l’histoire,
Assis sur le trottoir,
Ce trottoir de la rue,
Cette rue, sans issue.
Alors j’irais cueillir
Des roses d’espérance,
Pour pouvoir en offrir,
Aux femmes dans la souffrance.
 


LA FILLE AUX YEUX CRISTAL (LOLA).

Elle marche seule sur le trottoir,
La fille blonde aux yeux cristal,
Elle n’a pas peur, il se fait tard,
Elle a son âme dans les étoiles
Elle marche seule comme un poème,
Qu’aurait des dentelles de « je t’aime »,
Elle pense à sa fille, de dix ans,
Et qu’elle aimerait voir plus souvent.
Lola, ne pleure pas, un jour viendra…
Elle marche seule, dans cette ville,
Rêvant d’une âme au cœur fragile,
Qui lui donnerait un sac d’amour.
Et qui serait là comme un toujours…
Sa vie ça serait juste du bonheur,
Juste un sourire au bout d’une fleur,
De doux baisers contre ses lèvres,
Qu’elle cacherait dans sa boîte à rêve.
Lola, ne pleure pas, un jour viendra…
Elle marche seule, sur le boulevard,
Cette femme blonde, aux idées noires,
Les p’tits boulots, les fins de mois,
C’est l’quotidien d’une vie sans joies.
Elle rêvait d’une histoire d’amour,
Une passion sur draps de velours,
Mais elle est là, dans son studio,
Et, y’a plus rien dans le frigo.
Lola, ne pleure pas, un jour viendra…
Elle rêve seule, sur c’vieux divan,
Sa vie se blues, son cœur se fend,
Elle passe ses nuits, à tapoter
Sur des réseaux à faire chialer…
Je t’souhaite qu’un jour, sur l’horizon,
Tu aies du soleil dans tes cheveux blonds
Et d’la lumière au fond des yeux,
Comme le cristal des jours heureux.
Lola, ne pleure pas, un jour viendra…

Paroles et musique : Robert Nicollet.

mercredi 20 mars 2024

Sages regrets (à la terrasse d'un bistrot).





 L’enfant que tu ne m’as pas fait,
Aura les yeux comme des images,
Il chantera comme je le fais,
Des poèmes à nous rendre sages.
Il nous arrêtera le temps,
Pour une escale à la tendresse,
Il nous protégera du vent, pour qu’on ait chaud dans nos ivresses.
Il nous protégera du vent, pour qu’on ait chaud dans nos ivresses.
L’enfant que tu ne m’as pas fait,
Mettra son cœur dans nos caresses,
Une fillette ou un petit ket,
Un p’tit bout d’choux, aux rondes fesses.
Il nous contera tous les soirs,
Ses rêves et souvent ses cauchemars,
Pour se blottir dans nos bras, et se coucher un peu plus tard.
Pour se blottir dans nos bras, et se coucher un peu plus tard.
Puis, viendra l’âge des conneries,
Des amourettes au bac philo,
Des grandes gueules aux cœurs fragiles,
Des chansons dans les bistrots.
Oh! Bien sûr, tu pleureras,
A ne  plus savoir où il en est,
Puis au matin, sans trop y croire, il reviendra comme tu l’as fait.
Puis au matin, sans trop y croire, il reviendra comme tu l’as fait.
Un jour viendra, on s’en ira,
Et, là finira notre histoire,
Les yeux fermés, le cœur sans voix,
Je sais qu’on lui manquera.
Mais la vie, ça ne s’écrit pas,
Plus on la vit, plus elle s’en va.
Mais la vie, ça ne s’écrit pas,
C’est bien dommage, mais c’est comme ça.
L’enfant que tu ne m’as pas fait,
Ne restera qu’un vieux mirage,
Sûrement pour moi, beaucoup de regrets, à force d’avoir été trop sage.
Sûrement pour moi, beaucoup de regrets, à force d’avoir été trop sage.
Paroles et musique: Robert Nicollet.