vendredi 28 mai 2021
Je ne t'oublie pas.
J'ai bien trop embrassé tes
lèvres sucrées,
Dans le cœur, des étoiles, comme des poussières d’arcane,
mardi 25 mai 2021
Le sang bleu.
Le sang bleu.
Mes regrets éternels.
J’ai du sang bleu dans mes
veines,
Il coule aux fissures de mon
cœur,
Il en surgit des mots, des
peines,
Comme un torrent fou
fossoyeur.
Je pousse toujours comme la
misère,
Sur le flanc escarpé du vent,
Là où l’espace n’apprécie
guère,
Qu’on vienne lui prendre ses
moments.
Il fait si froid, dans mon
silence,
Souvent le soir, je m’y
égare,
Tremblant, rêvant d’une
présence
Que j’attends là, jusqu’à
plus tard.
Les heures ont la figure de
l'ombre,
Car le soleil les ignore,
Elles se noircissent, et
deviennent sombres
Jusqu'à ce que le jour, les
dévore.
Mon oreille guette, chaque
murmure,
Chaque frisson, qui se
poserait là
Sur mon épaule, sur mon
armure,
Un grain d'amour, comme un
éclat...
Une lueur grande comme un
rêve,
Qui me sortirait de l'abysse,
Qui m'emmènerai, au bord de
grève,
Pour m'emporter, loin d'mes
supplices.
J'ai tout perdu de ma belle
lune,
En regardant trop les
étoiles,
J'en ai oublié, la fortune,
Que j'avais là, devant la
toile.
Ce beau bijou, au cœur exquis,
Aussi fragile que le cristal,
Cette belle âme de poésie,
Semant ses vers, comme des
pétales.
Ils viennent toujours tomber
aux pieds,
D’mon drôle de cœur si mal,
souvent,
Que je ne sais plus, le verbe
aimer,
Alors que je l’aime
passionnément.
O, mon amour, comme je
saigne,
De t'avoir fait, tant de
tourments
La honte dans l'âme en moi
s'imprègne
Comme la lave des volcans.
Elle en parcourt mes fêlures,
Pour en signifier, mes
erreurs,
Elle me les jette à la
figure,
En révélant toutes mes
horreurs.
Des larmes s'écrivent sur mon
visage,
Ce sont toujours des mots
d'amour
Que le vent du sud dans ses
bagages,
Te les promène chaque jour...
J'ai le sang bleu du manque
d'aimer,
Dans mes artères, j'ai de
l'acide,
Il coule, bouillonne, il a
brûlé,
Toute la lumière de ses
splendides.
Tous les mots doux, tous nos
baisers.
Il a rayé de notre belle île
L'émeraude sertie d'or et
d'amour,
Qui nourrissait nos âmes
d’argile
Sur les songes de nos
toujours.
Un cyclone sur l'île de Marö,
A tout détruit de nos
soleils,
A poignardé ce qui est de
plus beau.
Notre belle histoire, ses
merveilles.
Voudront-ils s'allumer
encore ?
Il tient de toi, il tient de
moi
Il tient aussi des vents si
forts,
Qu’ils détruisent tout à nos
endroits.
J’ai l’esprit mat et noir de
blues
De la douleur en majuscule,
J’ai le regret, qui
m’éclabousse,
De sa souillure, de ridicule,
Au fond d’mes tripes, je sens
l’angoisse,
Celle qui me ronge, celle qui
me blesse,
Celle qui me déchire, me
fracasse
Contre ce sale mur qui
m’agresse…
Dans les immenses couloirs
obscurs,
Où le silence hurle ma
douleur,
J’entends le vide, siffler
torture,
J’entends le néant, porter
clameur.
La honte chiale son noir
venin.
Sur mon cœur aux rides
meurtries,
Sur mon âme, tremblante de
faim,
Faim d’amour pour toi, ma
mie.
Je te décrocherai les
étoiles.
Que je déposerai à tes pieds,
Pour qu’elles t’éclairent de
leurs pétales,
Ton doux visage, tes yeux
sacrés.
Tes émeraudes
resplendissantes,
Au vert de lumière, de
clarté,
A cette sublime transparence,
Qui éblouit toutes mes
pensées.
On partira sur notre radeau,
Sur la mer calme, rejoindre
notre île,
Cette île si belle, celle de
Marö,
Cher à nos rêves, rêves
fertiles.
Là où les graines qu’on a
semées,
Pourront alors s’épanouir,
Comme notre amour, nos doux
baisers,
Comme nos caresses, et nos
désirs.
Nos âmes s’enivreront de feu
Aux élixirs de nos envies
Nous viderons nos graals
précieux,
De leurs parfums d’alcool de
vie.
Puis, on s’envolera si haut,
Qu’on atteindra,
l’inaccessible,
Enchaînés l’un à l’autre, au
chaud,
De nos câlins invincibles.
Et notre amour sera si grand,
Que l’univers explosera
Alors, la face vers l’océan,
Nous chanterons à bout de
voix.
Toutes les ballades que
portent nos rêves,
Sur les sentiers de nos
étreintes,
Là où nos âmes blanches
s’élèvent,
Jusqu’à l’horizon des matins…
Paroles et musique :
Robert Nicollet.
Je pars (extrait du conte "ailleurs est la lumière")
Pour les téléphones portables, cliquez sur le lien.
Regarder le soleil, dans le bleu du ciel,
Regarder le soleil, dans le bleu du ciel,
Les yeux grands ouverts à cueillir des merveilles,
S’illuminer l’esprit et la grâce du cœur,
De mille délices et de folles splendeurs.
Puis d’une voix décidée, dire aux temps qu’il s’arrête,
Il n’a plus sa place, ici, dans mon ultime quête.
Surtout, lâcher prise, partir dans l’ailleurs,
Loin du vent maraudeur, et des obscures rancœurs,
Loin du silence des mots, et des mémoires déguisées.
Loin des faux discours, et des faillites organisées...
Je pars... Je pars...
Paroles et musique: Robert Nicollet.
lundi 24 mai 2021
La force des mots (extrait du conte "ailleurs est la lumière")
Si vous avez un téléphone portable cliquez ici:
Quatrième partie : La poésie comme lumière, énergie
puissance de paix.
A l’ivresse de nos heures fécondes
Aux âmes furtives et vagabondes
Aux caresses de nos nuits solidaires
Aux cris d’amour, à nos enfers.
A l’éternel, à l’éphémère
A la tendresse, à nos colères,
A la force, à nos faiblesses
Devant les hommes qui nous oppressent
Dans les ténèbres de nos nuits,
Là où ta lune se blottit,
Aux noirs de ton corps dévêtu
Là où mes songes se mettent à nu.
Elles riment au vent qui les emmène,
Aux bords de tes lèvres souveraines
Lorsque ta langue sucrée câline,
Les mots, les vers, s’encoquinent.
J'entends encore ta poésie
Griffonner sur le bord du lit,
Là où nos cœurs se font la coure,
Là où nos corps se font l’amour.
Lorsque la nuit ouvre ses ailes,
Aux bienveillances de tes dentelles
Et qu'elle te picore de baisers,
Je sens tes lèvres frissonner.
Dans la constellation des mots,
Il y a des étoiles qui s'font la peau,
Et quand Vénus livre ses charmes,
Elles se rendent et posent leurs armes,
Les mots sont plus forts, que vos guerres,
Messieurs de la chose militaire,
La poésie, c’est l’âme sœur,
Celle qui vous touche avec le cœur.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
Si vous voulez visionner la totalité du conte, cliquez ici
https://chansonprintaniere.blogspot.com/2019/08/ailleurs-est-la-lumiere.html
dimanche 23 mai 2021
Les prisonniers ( extrait du conte "ailleurs est la lumière")
Les prisonniers…
Aux décolletés des nébuleuses,
Lorsqu’elles se pointent impétueuses,
Dans les bas-fonds souvent sordides,
Des argentiers de la morbide...
La beauté se grime le coeur,
Elle fricote avec des menteurs
Elle s’invente d’autres chemins,
Ton âme, c’n’est plus rien, plus rien,
Il restera les souvenirs...
Ceux dont on parle, dans un soupir.
Mais, c’est demain, qu’on marchera,
En file indienne, la tête en bas,
Le cœur en berne, muet, jusqu’au silence,
Jusqu’à la pensée, jusqu’à l’ignorance
Il ne restera rien, fini ! Fini !
Et notre Amour, la poésie,
La poésie... La poésie...
Ecoute la avec le cœur,
Brise tes chaînes, oublie tes pleurs
Ferme les yeux, ouvre les bras,
Et sur un poème, envole-toi,
Pars, ailleurs, tu te retrouveras,
La poésie c’est le miroir de ton âme
Laisse-toi porter par l’épigramme.
Réapprend le monde, la terre,
La douceur des printemps,
La chaleur des étés,
La froidure des hivers,
La beauté des automnes.
Admire ces célestes goélands
Tourbillonnant sur l’océan,
Au dessus des falaises de marbre.
Redécouvre les fleurs, les arbres,
Les montagnes, aux sommets enneigées
Les rivières miroir de notre humanité
Nos lacs, nos mers, nos tendres passions,
L’amour, et sa valise d’émotions.
La liberté, la liberté,
Celle qu’on t’a volée, pillée,
Morte assassinée,
La poésie se meurt d’Amour,
Elle n’a plus de place pour s'asseoir,
Alors elle s'allonge dans une cour,
Comme les malades, dans les mouroirs
Comme les morts dans les cimetières
Le soir, une couverture sur ses vers.
Elle s'invente un peu d'espoir,
Les nuages sont trop bas, tu vois,
J'ai juste besoin d'un peu de toi...
Ici, chez moi, il fait si froid...
Pars, envole-toi, vas-y
J’entends le soir, hurler le vent,
La peur d’un grand chambardement,
Les hommes sont fous, ne les crois plus,
Ils t’ont fait tant de mal, ils t’ont vendue,
Ils ont marchandé ta pureté,
Ils t’ont violée, meurtrie, jetée,
Dans le caniveau, abandonnée,
La rue était ton seul foyer...
Ils pourront citer Baudelaire,
Verlaine, Rimbaud, Apollinaire,
Pourront étaler leur culture,
Sur le divan d’leur imposture
Un verre de whisky à la main,
Devant leurs complices, leurs copains,
Leur p’tite cravate comme une chaîne,
Le maillon faible d’leur A.D.N.
Prisonniers ils sont,
Prisonniers, ils resteront.
Paroles et musique : Robert Nicollet.
Vous pouvez voir la totalité du conte à cette adresse:
https://chansonprintaniere.blogspot.com/2019/08/ailleurs-est-la-lumiere.html
mardi 18 mai 2021
Dans tes yeux
Pour les téléphones portables, cliquez sur ce lien...
Dans tes yeux,
Je vois la mer, le ciel,
J’entends le cri des
mouettes,
Qui s’en vont pêcher au
large.
Dans tes yeux,
J’admire l’horizon,
Se frotter en vagabond
Sur les traits de ton rimmel.
Je navigue toute voile
dehors,
Aux archipels des Açores,
Juste en plongeant dans tes
yeux,
Mon doux regard amoureux.
Dans tes yeux,
Y’a des soleils heureux
Des émeraudes en feu,
Illuminant toute ma vie.
Dans tes yeux,
Y’a d’l’amour en flag,
Caressant l’écume des vagues.
Par de longs baisers bivouac.
Je navigue toute voile
dehors,
Aux archipels des Açores,
Juste en plongeant dans tes
yeux,
Mon doux regard amoureux.
Dans tes yeux,
Je vois la lune, danser
Je vois, tes lèvres bouger,
Au rythme de mes baisers.
Dans tes yeux,
Y’ a des étoiles d’amour,
Qui brillent la nuit et le
jour,
Sur ton fin visage d’ange.
Je navigue toute voile
dehors,
Aux archipels des Açores,
Juste en plongeant dans tes
yeux,
Mon doux regard amoureux.
Paroles et musique :
Robert Nicollet.
vendredi 14 mai 2021
Je pars...
Pour les téléphones portables, cliquer sur ce lien pour accéder à la vidéo...Adieu, les mots toutes
griffes dehors,
On peut avoir quelque fois envie de partir, quitter ce monde… et puis quelque chose, quelqu’un, quelqu’une nous retient… comme une amarre au cœur… comme la lumière et cette corde au fond du puits…
Adieu, les mots toutes
griffes dehors,
Adieu, les mensonges de
pervers,
Adieu, les plaintes, adieu
les r’mords,
Adieu, aux tyrans d’la
pirouette.
Je pars !
Respirer tout au fond d’mes
brumes,
Là, où je s’rais sûr d’y bien
dormir,
Là où la parole ne s’entend
plus,
Le silence s’ra mon seul ami.
Je pars !
Plus de manoeuvres de
barbares
Par des goupils de basse
cour,
Juste le vide, et puis basta,
Aux oubliettes, les sales
vautours.
Je pars !
Je jette tout, même le plus
beau,
Mon sac d’amour, mes
sentiments
Ça n’sert à rien, sur mon
radeau,
Je les sèmerai au gré du
vent.
Je pars !
J’laisse mes guitares aux
vieux rapaces,
Toutes mes chansons et mes
poèmes,
J’laisse à la gueule de ces
voraces,
Toute mon histoire et mes
« je t’aime »,
Je pars !
Ne vous levez pas de cette
table,
Je suis assez grand pour
partir,
Je ferais comme les grains de
sable,
Profitant du mistral pour
fuir.
Je pars !
Et puis y’a toi, au bout du
monde
Dans ton pays, à fleur de
France,
Là-bas au loin j’entends que
gronde,
Mon amour, venue de Provence.
Je t’aime.
Et toi, ma belle que j’aime
tant
Combien de jour, combien de
nuit
Resterai-je là, devant
l’écran,
A t’attendre comme le messie.
Je t’aime.
Ne m’en veut pas, mais je
suis las,
Peut être lâche, sûrement
aussi,
Mais dans ce monde, j’n’ai
plus ma place,
Où se confond Amour mépris.
Je t’aime.
Je m’enivre toujours de tes
mots,
Je ne boirai plus de tes
silences
Ou j’les couperai avec de
l’eau.
Qu’ils me fassent moins mal à
tes absences.
Je t’aime !
Toi, ma plus belle histoire
d’amour,
Celle qui m’a redonné
l’envie,
Peut être qu’un jour, dans
nos toujours,
On s’aimera alors à
l’infini…Je t’aime… A l’infini…je t’aime… A l’infini…je t’aime…
Paroles et musique : Robert Nicollet.
jeudi 6 mai 2021
L'invitation.
Pour les téléphones portables, cliquer sur ce lien
" Aux rêves et à l'utopie de l'Amour..."
Viens, je t'invite dans mon
jardin,
Dans mon monde, mon
univers,
Là où le parfum des jasmins,
T'emporte dans les plus beaux
rêves.
Il y a des fleurs, en forme
de coeur,
Qui s'offrent au soleil de
l'amour,
Où chaque pétale, livre ses
couleurs,
Aux douces chansons des
troubadours.
Viens, je t'invite dans mon
jardin,
Je vois tes yeux comme
l'émeraude,
S'ouvrir d'amour dans leur
écrin.
Comme les lumières que tu
brodes.
Elles s'habillent de blanches
dentelles,
Fines comme des aiguilles de
glace,
Elles laissent voler les
ritournelles,
Sur ta peau fine, que
j’embrasse.
Sur ce divin tapis de fleurs,
Nous volerons dans un ciel
bleu,
Où notre amour voyageur,
Pourra chanter libre et
heureux.
On s’arrêtera sur un cirrus,
Ce sont les nuages les plus
hauts,
Enfin, nous détiendrons, ma
muse,
Les clefs d’amour de nos
joyaux.
Allez, viens, boire à nos
vendanges,
Près du jardin de nos rêves
bleus,
Viens murmurer, de ta voix
d’Ange,
Tous les mots doux, les plus
fiévreux.
Viens mordre dans les grains
de raisins,
Que j’ai cueillis, de cette
treille,
Viens le goûter, là dans mes
mains,
C’est du muscat, une pure
merveille.
Viens sur mes sentiers,
musarder,
T’évader, t'enfuir à plaisir,
Entendre le gravier blanc
crisser,
Sous les pas feutrés de nos
désirs.
Dans cette échappée, où le
temps,
Oublie sa mémoire, et ne
s’occupe,
Que d’une poésie du présent,
Comme un poème qui exulte.
Laisse-moi donc te
contempler,
Toi, ma déesse, aux lèvres en
lys,
Toi qui me parles, comme des
baisers,
Toi qui m’envoûte d’amour
exquis.
Laisse-moi poser mon âme
frêle
Dans ton foyer le cœur en
feu,
Et que nos flammes alors se
mêlent,
A la pure beauté de nos vœux.
Vois ce parterre de myosotis,
Accroché à leurs fines
fleurs,
Des mots si bleus, et si
complices,
Des mots aux sublimes
couleurs.
Ils parlent d’amour et
d’éternel,
Comme si le temps, n’existait
plus,
Où seul l’espace est
citadelle,
Aux amants des fous imprévus.
Regarde planer ces papillons,
Sur le pistil des
coquelicots,
Ils en bécotent chaque
bouton,
Ils s’en régalent, comme des marauds
J’aimerai que tu sois cette
fleur,
Et moi, cet insecte butineur,
Que nous volions, tous deux, en
cœur,
Loin de cet univers tapageur.
Je connais de splendides
sentiers,
Où nos baisers seraient
délices,
Où le parfum des alizés
Embaumerait notre oasis.
Il suffirait d'une courte
balade
Dans ce jardin aux mille
grâces,
Il suffirait qu'nos cœurs
nomades
S'y posent un peu, là, à
cette place.
Mon jardin chante comme le silence,
Il n’a de voix que pour nous deux,
Il est muet à l’impuissance,
Du monde au pouvoir caverneux.
Des dictatures du sentiment,
Du despotisme de l’habitude,
De la rumeur du néant,
Du verbiage d’ingratitude.
C'est un jardin comme une
merveille,
C'est un repère pour notre
amour,
C'est notre île de Marö, la
belle,
Celle qui nous accueille
chaque jour.
C'est un pic qui crève le
ciel,
Quand les nuages se font trop
lourds,
Pour qu'il allume nos pleins
soleils,
Des lumières chaudes de notre
amour.
C'est une étoile, qui se
faufile,
Dans le noir vide, de
l'univers,
C'est un camouflet aux
sibylles,
A leurs présages, mis à
l'envers.
C'est la fontaine qui
jaillit,
D'un rocher brun de
l'innocence,
Une rivière, qui, dans son
lit,
Accueille l'amour et la
romance.
C'est cette chambre 322,
Le rendez-vous, du bout de la
nuit,
Où l'on s'aimait, si fort
tous deux,
Aux lueurs d'une lune
blanchit.
C'est une chanson qui grime
nos âmes,
A la mélodie des passions,
Une voix perlée qui fait ses
gammes,
Devant le monde et ses
prisons.
C’est un poème qui trouve ses
vers
Dans les couloirs du
crépuscule,
Là où nos cœurs, riment aux
lisières
Du rêve, et de la majuscule,
Il vous secoue, la verve
haute,
A déclamer ses cris d’amour,
A caresser chacune des notes
De la symphonie du toujours.
Mon jardin, est forteresse
Quand on y rentre, on y est
bien,
On s’aimera, jusqu’à
l’ivresse,
Des petits soirs aux doux
matins.
Alors le temps s’endormira,
Sur les poèmes de nos
chemins,
L’éternité succédera
Et, notre amour sera sans
fin…
Viens, je t'invite dans mon
jardin,
Dans mon monde, mon univers,
Là où le parfum des jasmins,
T'emporte dans les plus beaux
rêves.
Il y a des fleurs, en forme
de cœur,
Qui s'offrent au soleil de
l'amour,
Où chaque pétale, livre ses
couleurs,
Aux douces chansons des
troubadours.
Paroles et musique :
Robert Nicollet.
samedi 1 mai 2021
Y'a du bonheur
Pour les téléphones portables, cliquez sur ce lien.
Au fond d’mon cœur, y’ a du bonheur,
Y’a du bonheur, ça crève les yeux,
Y’a beau pleuvoir, en arrache coeur
Un p’tit bout d’rêve, et on est mieux.
On r’garde le monde en amoureux,
Et le soleil dans tes yeux verts,
Un beau sourire, je suis heureux,
Viens on va faire un tour en mer…
Il faut savoir chercher l’bonheur,
Il n’arrive pas, toujours tout seul,
Il faut savoir trouver l’âme sœur,
Au bout d’ta route, à la bonne heure…
Y’a du bonheur, dans ta voix d’ange.
Y’a des sourires, au bout d’tes lèvres,
Un éclat d’rire que je vendange,
Pour le goûter, après l’dessert.
Des explosions de bouquets d’fleurs
Des p’tits mots doux, juste dans le cou,
Et ton regard qui se fout d’l’heure,
Tes p’tits bonheurs, qui me rendent fou.
Il faut savoir chercher l’bonheur,
Il n’arrive pas, toujours tout seul,
Il faut savoir trouver l’âme sœur,
Au bout d’ta route, à la bonne heure…
J’ai pris la route, j’ai bourlingué
Juste ma guitare, un sac à dos,
Le cœur en peine, l’âme blessée,
Quand j’t’ai croisée, sur ton radeau.
Ce dont j’suis sûr, c’est qu’je suis bien
Tout près de toi, fou et heureux,
A t’aimer fort
jusqu’au matin,
Nos poésies entre quatre yeux.
Il faut savoir chercher l’bonheur,
Il n’arrive pas, toujours tout seul,
Il faut savoir trouver l’âme sœur,
Au bout d’ta route, à la bonne heure…
Il faut savoir chercher l’bonheur,
Il faut savoir chercher l’bonheur.
Paroles et musique : Robert Nicollet.
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