Dans l’épaisse brume de mes
pensées, J’entends les mots de tes
silences J’entends un cœur tant
écorché, Un manque d’amour, de trop
d’absence. Je sens ton cœur battre en
bataille, Dans cette guerre noire qui
te ronge, Je sens des ondes, comme des
mitrailles, Je sens une angoisse qui
s’allonge. Elle harponne ton âme, ton
esprit, Elle efface tout, nos
souvenirs, Elle sépare nos cœurs et nos
vies, Juste derrière elle, notre
monde chavire. Je me tiens là, mon bel
amour, Si loin du nord, si proche de
toi, Je reste là, les nuits, les
jours, J’aimerai tant vivre avec
toi. Le soir arrive et la lune
s’installe, Je devine dans ce ciel obscur La lumière vivante de ses
étoiles Je fais un vœu, pour toi,
bien sûr. Le lit est froid, il manque
de toi, Je m’y installe, quand la
nuit vient, Le sommeil lui, n’arrive pas, Et c’est de toi, dont j’ai
besoin… Alors je rêve en bleu, nous
deux, Sur l’île de Marö, notre
belle île, Courant, sur cette plage,
heureux, Celle qui abrite tous nos
fragiles. Notre amour et notre passion, Nos douces envies puis nos
plaisirs, Nos caresses et nos frissons, Nos baisers intenses du
désir. Mes mains qui voyagent au
pays, De ton corps, sur ta peau
magnétique Cette main qui adore ta
chimie, Ta silhouette en harmonique. Cette main dont les doigts
ont faim, De sentir tes douceurs
sucrées, D’errer sur tes sublimes
félins, Sur tes sommets d’amour
dressés. Avides d’allégresse
passionnées Aux pourpres contours de nos
flammes, D’ivresses, aux essences
boisées, Qui nous emportent en
oriflamme. Quand nos corps deviennent
esprit, Lorsqu’ils s’envolent dans le
vide, Poussés par le vent
d’Aphrodite, Elevés au plus haut
splendide. Nous sommes unis, dans ce
vertige, Comme la vague à l’océan, Submergés d’intenses
plaisirs, Noyés d’amour infiniment… Quand les mouettes crient à
l’horizon Que le soleil s’ouvre à la
lune, Le ciel rougit de nos
passions, Aux chants d’amours et de
fortune. Nous sommes sur ce radeau
errant, Sur les courants de nos
folies, Affrontant les vagues et les
tourments, Les contraintes et la
maladie. Tu m’as parlé, tu allais
mieux, Fragile comme du baccarat, Etincelante, majestueuse, J’ai bu tes mots, comme du
muscat. Je t’ai retrouvée, toi que
j’aime, Je sais que c’est dur, mais
je suis là, Tu peux compter sur moi, ma
douce reine Viens te blottir dans mes
bras. Mon cœur a bercé ton prénom, A chaque instant de ton
silence, Il a chanté à l’unisson, Ta poésie, nos espérances. Je rêve toujours d’un proche
futur, Où tu seras dans mon présent, Ma plus belle histoire
perdure, Elle est d’amour, infiniment. Elle est d’amour et je le
chante, Et je le dis, et je le
crie ! Que son harmonie florissante, Arrose ton cœur de mes
écrits. Qu’elle t’offre les plus
beaux poèmes, Poèmes d’amour aux vers
agiles, Aux mots agiles, aux lettres
que sème, Nos graines d’amour, les plus
fertiles. Que les étoiles m’entendent
ce soir, Je te déclare à l’infini, Du plus haut cri bondé
d’espoir Tout l’Amour fou qui
m’habite. Je n’arrêterai pas de te le
dire, Te le chanter, le réciter, Ne lassant pas de te
l’écrire, Jusqu’à l’ivresse, de mes
pensées… Je t’aime…. Je t’aime… Je
t’aime… Paroles et musique :
Robert Nicollet.
Magnifique chanson affectueuse Merci Robert et douce nuit amities Domi
RépondreSupprimerMerci Dominique, passe une excellente journée, amitiés, Robert.
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