Quand on
n’aime plus, on a l’cœur en sommeil
L’âme
suspendue, aux nuits sans étincelle
Quand on
n’aime plus, on vit en noir et blanc,
On ne rêve
plus, tristement, on attend…
On attend
du jour, où le soleil luira
Qui dans
son toujours, nous emportera,
Quand on
n’aime plus, le temps est souvent lourd
Lourd de
sans issue, lourd du manque d’Amour.
Quand on
n’aime plus, il reste les souvenirs,
Du temps
qui n’est plus, celui du désir…
On perd l’envie
d’aimer et celui de séduire.
Quand on
n’aime plus, les jours nous font grise mine
Et dans cette
inconnue, souvent nos nuits blanchissent,
Mais la vie
continue, cachée dans le déni,
Chargée de
convenu, comme de vieux gestes appris.
Quand on
n’aime plus, le monde est étranger,
Il ne nous
parle plus, on s’est bien trop lassé
On ferme
les paupières, on s'endort lentement
Sur le
chemin du peut être, on s’accroche souvent
Quand on
n’aime plus, il reste les souvenirs,
Du temps
qui n’est plus, celui du désir…
Quand on
n’aime plus, la vie est un soupir,
On perd
l’envie d’aimer et celui de séduire.
Quand l’amour
n’est plus, sans qu’on veille renaître
On l’voit suspendu,
au bord d’une fenêtre,
Un regard
qui sourit, un geste, un mot gentil,
Et l’envie
nous revient, l’envie d’avoir envie
De cueillir
les étoiles, de monter dans les nues,
D’hisser la
grand’voile, conquérir l’absolu
Et quand
l’amour renaît, qu’importe le temps perdu,
On s’envole
dans le ciel pour embrasser la lune
Paroles et
musique : Robert Nicollet.
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