vendredi 18 mars 2016

Tes merveilles







J'inventerai le bleu du ciel, où les nuages se perdront
Je bâtirai des citadelles, avec l'amour à l'horizon.
Je dompterai les noirs vautours pour défendre nos passions,
J’ai dans mon sac, plus d’un tour, pour te sortir de prison, de prison...
J'habillerai d’or nos soleils, aux vraies couleurs de liberté,
Je réchaufferai tes fines ailes, pour que tu puisses t'envoler,
Puis, je te couvrirai ma belle, de douces caresses et de baisers,
J'illuminerai nos arcs en ciel, pour te voir enfin rêver,
Enfin rêver…

Je dessinerai lacs et montagnes, aux parfums d'immensité.
Je te peindrai nos campagnes, de coquelicots, de champs de blé,
Où ma douce et tendre amie, tu pourras t'y allonger.
Et, sur la brise endormie, je pourrais t’y voir danser, t’y voir danser
Je t'écrirai de longs poèmes, des mots de soie sur du papier
Et pour te dire combien je t'aime, et que nous devons espérer.
Je me battrai chaque semaine et s’il le faut, l'éternité,
Pour te libérer de tes chaînes, et pour te voir enfin chanter,
Enfin chanter...

Viens, je vais allumer nos étoiles, puis, je t’enflammerai la lune
Ta Vénus sur la toile, et les plages de Pampelune.
Sur des vagues imaginaires, où nos rêves se sont couchés,
Viendront te crier à l’Amour, les douces caresses du passé, du passé
Si nos toujours sont bien trop courts, je t’offrirai de beaux étés,
Où les mouettes tour à tour, viendront là pour te bercer
 On courra tout deux sur la plage, pour rattraper le fil du temps
Et le temps fera naufrage, devant notre amour impatient,
Impatient...

Puis, je chercherai des trésors, au fond des mers inconnues,
Enfin, je te couvrirai d'or, et d'amour fou, et d'absolu.
Je t'offrirai tous mes désirs, pour te sortir du sommeil,
Mon amour, il est temps d’en rire, devant les lumières du réveil, du réveil…
Je ferai jaillir des torrents sur tes terres ensablées,
Là, au pied de tes volcans, je planterai d’immenses forêts,
Et sur ta bouche, et sur tes lèvres, vibrera le soleil,
J’y poserai les miennes, pour cueillir tes merveilles, tes merveilles, tes merveilles…

Paroles et musique: Robert Nicollet.


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