Tu es les plumes de mes
ailes, Le vent troublant des
migrateurs, L’insolence, douce et
rebelle, Aux bouffées de tes
splendeurs. Tu es la lune quand elle est
pleine, Lorsque ses cratères
explosent, Des baisers de porcelaine, Que la nuit souvent expose. Alors, ma belle, je reste là, Comme un idiot, juste à ta
porte, Tu sais, je sais bien qu’ici
bas, Notre amour sera le plus
fort. Tu es le parfum de mes nuits, Dans les bras de l’infini, Quand nos matins de poésie S’écrivent sur les rives de notre
lit. Lorsque qu’un rayon de
lumière, Vient se plonger en rapace, Et, que se fondent nos
lèvres, A notre amour en voyage. Alors, ma belle, je reste là, Comme un idiot, juste à ta
porte, Tu sais, je sais bien qu’ici
bas, Notre amour sera le plus
fort. Tu es la couleur verte des
lacs, Où les nuages viennent se
baigner, Cueillir quelques gouttes
d’orage Pour les semer sur nos étés. Tu es cette pierre
d’émeraude, Qui vient se blottir dans tes
yeux, Là où l’envie se fait
maraude, Où tout brille de merveilleux. Alors, ma belle, je reste là, Comme un idiot, juste à ta
porte, Tu sais, je sais bien qu’ici
bas, Notre amour sera le plus
fort. Tu es l’or, tu es lumière, Tu es le rouge de tes baisers, Tu es le temps, sans
l’éphémère, Tu es passion, tu es beauté. Tu es caresse, douce sirène Jusqu’au bout de tes océans Et tes longues vagues t’emmènent Embrasser mes plages d’argent. Alors, ma belle, je reste là, Comme un idiot, juste à ta
porte, Tu sais, je sais bien qu’ici
bas, Notre amour sera le plus
fort. Le plus fort. Paroles et musique :
Robert Nicollet.
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