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Allongé là sur l’horizon,
Sur cette mer comme un
frisson,
Je te vois belle ensoleillée,
Comme les sirènes en mer
Égée.
Ton corps savoure les
caresses,
Que les vagues livrent avec
ivresse,
Sur ta peau de blanche
colombe,
Qui frissonne quand le soir
tombe.
Elles ont les âmes de la
passion,
Des voyages en terres
d’exception
Là où l’amour est enfant roi
Là où le ciel n’en finit pas.
Et tu te laisses souvent
bercer,
Par les flots tendres de
leurs baisers,
Dans cette absinthe du plaisir,
Je vois le fragile se
blottir.
Quand les lumières de
l’infini,
Sur la silhouette de ton nid,
Posées, te réchauffent
d’artifices,
Comme les flammes de tes
délices.
Quand la divine lune
approche,
Le temps se fait un peu
gavroche,
Elle tend les mains pour
t’enlacer,
Pour te serrer et
t’embrasser.
J’entends les violons de tes
lèvres,
Jouer de douces symphonies,
Quand leurs archets sur tes
cordes rêvent,
Des plus belles phrases de
litanies.
Elles t’emportent, loin des
tempêtes,
Loin des ouragans de l’esprit,
Elles te protègent, te font
renaître,
Des graines d’amour, des
graines d’envie.
Tu fermes les yeux, comme
emportée,
Au baccara du verbe aimer,
Là où le « m » se
fait porter,
Par les désirs, sensualité.
La valse joue, toujours plus
fortes,
C’est comme de l’amour qui
s’déguise,
Elle tourbillonne, elle
virevolte,
Elle voyage dans tes terres
exquises.
Les mots se sculptent dans la
rosée,
Ils s’agrippent à tes perles
d’amour,
Ils ont la force, des vents
mauvais
Et la beauté du chaque jour.
Les mots ça s’ jettent sur du
papier
Où les déliés d’Amour s’y
glissent.
Comme pour te sortir de la
nausée
Et t’emporter vers sa magie.
Quand le divin sublime le
pire
Quand l’éternel drague
l’infini,
Le temps se jette dans le
souvenir,
Dans les Abymes des âmes meurtries.
Et tes émeraudes sont poésie,
Elles caressent le regard
fasciné,
Des grands rêveurs qui te
chérissent
Des décrocheurs de lune
argentée.
Le ciel te couvre de sa nuée,
Comme un châle en mal
d’aimer,
Ne prend pas mal, ma douce
amie,
Protège toi du vent maudit.
Ne prend pas mal, ma douce
amie,
Protège toi du vent maudit.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
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