(Lettre à une amie…)
Dans mes nuits blanches
souvent je pense
A nos années d’adolescence
Quand l’insouciance nous
habitait,
Nous rêvions, faisions des
projets.
Vouloir partir, sur la
planète,
Chanter nos chansons, faire
la quête,
Et vivre d’amour et
d’amitiés,
Belle innocence que ces
années.
Parfois le soir par ton
absence
Se déroulent des tas de
souvenirs,
Si la mémoire quelques fois
flanche
J’attends le silence pour
m’endormir.
Je me souviens de cet été,
Où nous rêvions, de liberté,
Nous manifestions pour la
paix,
Et nos parents nous
engueulaient,
Alors nous sommes partis en
stop,
Au bord de mer, près de Saint
trop,
Nous chantions des textes de
Ferré,
Nos deux voix, nos guitares
mêlées.
Parfois le soir par ton
absence
Se déroulent des tas de
souvenirs,
Si la mémoire quelques fois
flanche
J’attends le silence pour
m’endormir.
Passé l’été, nous sommes
revenus,
Reprendre la fac, et nos
études,
Mais la guitare est bien
restée,
Chez l’un et l’autre à nos
côtés,
C’est vrai qu’il y a toujours
la guerre,
Sur la planète et dans nos
têtes,
La liberté a reculé,
Nos
chansons restent d’actualité
Parfois le soir, je pense à
toi,
Et se déroulent mes
souvenirs,
Dans mes chansons, j’entends
ta voix
J’attends le silence pour
m’endormir.
Parfois le soir, je pense à
toi,
Et se déroulent mes
souvenirs,
Dans mes chansons, j’entends
ta voix
J’attends le silence pour
m’endormir.
Paroles et musique
Robert Nicollet
RépondreSupprimerBonjour Robert Nicolet , c'est très beau , merci ! Quelque part en soi , cela me rend triste ...Cultivez ce joli parterre de Fleurs , c'est une belle vérité ...Bon après-midi !