Le vent
souffle, c’est la tempête,
Sur les
dunes de l’Espiguette,
Le sable s’envole,
fait des pirouettes
Devant le
r’gard, inquiet des mouettes
Le ciel
s’emporte, noir de gris,
Jusqu’au
bout, vers l’infini,
Le jour, la
nuit, je n’sais plus trop,
Il n’y a
pas d’heures, pour s’lever tôt.
Il n’y a plus
d’heures, pour s’lever tôt.
Il pleut
sur la mer, jusqu’au ciel,
Ce sont les
larmes de l’éternelle
Donnes-moi
ton souffle, comme un sourire
Comme une
caresse, sans devenir
Le phare
s’accroche, aux solitudes,
Il a la
force et l’habitude,
La pluie,
le vent, les vagues hurlent
Et sur la
peau, le sable brûle
Et sur ma
peau, le sable brûle
Les vagues
se lassent, sur cette plage,
Elles ont
la couleur, des nuages,
Un peu
d’écume qui s’illumine,
Sur la
grisaille qui l’égratigne,
Et dans le
ciel, je vois tes yeux,
Une
lumière, aux mille feux,
J’imagine
le son de ta voix,
Je rêve du
jour où t’étais là…
Je rêve du
jour où t’étais là…
Le jour
s’éclaircit, ô ma vie,
Je t’sens
tout prêt, tout prêt, ici,
Le vent se
calme, le ciel s’éclaire,
La mer est
belle comme nos hiers,
Quand tu me
manques, je reviens là,
Sur cette
plage, du toi et moi,
Sur le
sable, j’lis ton prénom,
Ça me fait
du bien, dans ma prison.
Ça me fait
du bien, dans ma prison.
Paroles et musique: Robert Nicollet
Dès que j'ai un peu de temps j'aime vraiment vous écouter!
RépondreSupprimerMerci, de votre commentaire, il me touche sincèrement, passez une bonne journée, amicalement, Robert.
RépondreSupprimerTrès beau
RépondreSupprimerMerci, passez une excellente soirée, amitiés, Robert.
SupprimerSuperbe. Merci.
RépondreSupprimerMerci Jean-Marie, passe une excellente soirée, amitiés, Robert.
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