jeudi 30 septembre 2021
vendredi 24 septembre 2021
Dans les rues d’ma vie,
A toutes les victimes de pervers(e) narcissique…
Dans les rues d’ma vie,
Y’a des ombres meurtries,
Des arraches cœur,
Des cris de douleur.
Dans les rues d’ma vie,
Faut pas s’balader,
Les jours sont des nuits,
Froides et solitaires.
Et la vie s’en va, et le vent
l’emporte,
Un jour, le soleil toqu’ra à
ma porte.
Dans les rues d’ma vie,
J’entends des mensonges,
Ceux qui me déchirent,
Et ceux qui me rongent.
Dans les rues, des cris,
Des menaces acides,
D’odieuses duperies
Où mes peurs se vident.
Et la vie s’en va, et le vent
l’emporte,
Un jour, le soleil toqu’ra à
ma porte.
J’fais gaffe à ses mots,
J’les entends de trop,
C’est comme un tambour,
Qui tonnerait toujours.
J’fais gaffe à ses yeux,
Ils mitraillent de haine,
Les cœurs courageux,
Qui briseront mes chaînes.
Et la vie s’en va, et le vent
l’emporte,
Un jour, le soleil toqu’ra à
ma porte.
Elle charme pour piquer,
Elle pique pour régner,
Elle règne pour plier,
Toutes mes volontés.
Et je m’plie souvent,
J’suis même pas conscient
J’suis l’esclave vivant,
A sa botte, tout le temps.
Et la vie s’en va, et le vent
l’emporte,
Un jour, le soleil toqu’ra à
ma porte.
Seul, j’vis reclus,
Plus d’amis d’hier,
Plus d’parent non plus,
Plus d’sœur, ni de frère.
Plus de fils, de fille,
De nièce, et de neveu
Plus de p’tits enfants,
Maintenant, ils sont grands…
Et la vie s’en va, et le vent
l’emporte,
Un jour, le soleil toqu’ra à
ma porte.
Mon r’fuge, mon studio,
Où j’écris ces mots,
Les menottes se brisent,
Plus de pensée soumise.
Elle se révolte, elle gronde,
Elle crie, elle sanglote,
Elle hurle dans sa tombe
Libertés, sans faute…
Et la vie s’en va, et le vent
l’emporte,
Un jour, le soleil toqu’ra à
ma porte.
Elle me fera chanter,
Voudra me faire plier
Mais je ne serai plus,
Ce qu’elle a voulu.
S’il me reste un peu,
De temps pour vivre vieux,
Je s’rai aux côtés,
Des gens qui m’ont aimé.
Car, la vie s’en va, et le
vent l’emporte,
Ce jour, le soleil a toqué à
ma porte.
Paroles et musique :
Robert Nicollet.
mardi 14 septembre 2021
Dans mes virgules.
Si vous avez un téléphone portable, cliquez sur ce lien pour visionner la vidéo de la chanson...
J’voulais t’écrire un
semblant de poème,
Des vers d’amour, aux rimes
langoureuses
Des mots dentelles bordées de
« je t’aime »,
« Je t’aime » fous
sur des torrents fougueux.
J’ai pris ma plume, comme je
pose un baiser,
Lorsque tes déliés, font la
coure aux voyelles,
Lorsque tes mots subliment
mes pensées
Lorsque ton corps se pointe
en archipel.
Dans mes virgules, y'a de
douces caresses
Des fleurs d’amour, comme une
suite au peut être,
Comme un voyage, utopie dans
l’ivresse,
Une quête d’amour, une quête
du renaître.
Je saurai être l’encre rose
des poètes
Le papier blanc de tes
célestes dessins
La toile tendue, posée sur le
chevalet
J’en serai pinceau, couteau
dans tes mains.
Je serai couleurs, de tes
douces harmonies,
Lorsque la lumière, sur le
jour blanchit,
Et qu’elle éclaire tes beaux
yeux ma jolie
Sur les chefs d’œuvre de ta
poésie.
Dans mes virgules, y'a de
douces caresses
Des fleurs d’amour, comme une
suite au peut être,
Comme un voyage, utopie dans
l’ivresse,
Une quête d’amour, une quête
du renaître.
Je serai ces jours, où la
clarté se libère,
De ces nuages noirs, aux
violences amères,
Lorsque le vent porte la
foudre, le tonnerre,
Qu’il pleure si fort, dans le
ventre de la terre.
Je serai torrent, dévalant
tes frontières,
Ta silhouette, et le bas de
tes reins,
Je me jetterais dans l’eau de
tes rivières,
Me mélangeant aux liqueurs de
tes mains.
Dans mes virgules, y'a de
douces caresses
Des fleurs d’amour, comme une
suite au peut être,
Comme un voyage, utopie dans
l’ivresse,
Une quête d’amour, une quête
du renaître.
Je serai plume, oiseau de
passage,
Les ailes posées sur le bout
de tes seins,
Errant d’amour, de caresses
en voyage,
Jusqu’au plus beau moment du
matin.
Je serai or pour me pendre à
ton cou,
Mes bras ancrés, sur tes
épaules fragiles,
Sur tes lumières, aux
faisceaux de bijou,
Aux perles nacrés, des
huîtres du Brésil.
Dans mes virgules, y'a de
douces caresses
Des fleurs d’amour, comme une
suite au peut être,
Comme un voyage, utopie dans
l’ivresse,
Une quête d’amour, une quête
du renaître.
Paroles et musique :
Robert Nicollet.
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