Assis dans un café, rue Carreterie, je regardais une dame,
mystérieuse et solitaire… l’imagination a fait le reste, en voici une chanson…
merci à elle d’avoir, sans le savoir, permis d’écrire cette ballade…
Elle buvait tous ses
chagrins,
Au p’tit bar du père Machin,
Elle vidait ses verres
d’absinthe,
En écoutant ce vieux Chopin.
Alors, elle fermait les yeux,
Et ses souvenirs, la
rendaient… heureuse…
Elle parlait du temps passé,
Où, sur les planches, elle
dansait
Devant son public, charmé,
Par sa grâce et sa beauté,
Alors, elle fermait les yeux,
Sa vie d’artiste, la rendait…
heureuse…
Elle a longtemps bourlingué,
De festivals en longues
tournées,
Danseuse étoile en plein
succès,
La voilà seule, dans
c’troquet…
Alors je ferme les yeux
Pour qu’elle se r’mette à
danser…là… heureuse…
Danse… Vas-y danse…
Oui…petite étoile… aller, danse….
Le temps c’n’est rien, ça va,
ça vient,
On peut toujours se r’faire
un chemin,
Tu sais, j’connais des terres
d’Eden,
Où l’on pourra soigner nos
peines…
Et on fermera les yeux,
Et nous danserons tous les
deux… heureux…
Paroles et musique :
Robert Nicollet
Emotion je tourne la valse m entraine.....daniella
RépondreSupprimerJe suis content de te trouver ici, Daniella, d'abord bienvenue... Merci de ton mot à trois temps, belle soirée à toi... Amitiés et poésie... Robert.
SupprimerTrès touchante cette chanson, quand il ne reste que le beau de la vie. Merci Robert bisous
SupprimerMerci, passe un bon jeudi, bisous, Robert.
SupprimerAu café qu'avez-vous fait? Une bi belle chanson
RépondreSupprimerC'est quand on a un coup de cœur, que l'inspiration nait... l'imaginaire se réveille...Après il faut nettoyer le texte et composer...Merci de ce joli commentaire, passez un excellent dimanche... Amicalement, Robert.
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