dimanche 22 octobre 2017

Dans l’sac à dos.






Je n’savais pas trop, si j’devais t’écrire
Si ces quelques mots, pouvaient t’faire plaisir
Puis j’ai pris ma plume, et mon piano,
Toute mon amitié dans l’sac à dos.
Il est des larmes qui peuvent faire du bien,
Des paroles en forme de doux câlin,
Les douleurs d’un cœur qui est en bataille
Et les plaies d’une vie qui déraille
Et les plaies d’une vie qui déraille

Et si tu r’gardes là bas sur ton île,
Le soleil se l’ver, les matins fragiles,
Y’a des mouettes, qui chantent des poèmes,
Pour te libérer, briser tes chaînes
Le vent s’est levé, sur la mer d’hiver,
Le froid se réveille, ce jour de tonnerre,
Mais il y a du feu dans la cheminée,
Qui t’attend le soir, pour t’réchauffer…
Qui t’attend le soir, pour t’réchauffer…

Les vagues sont belles, sur la mer d’Iroise,
Il y a d’la mousse comme dans la cervoise
Il n’y a rien d’plus beau, que la nature
Quand on a l’cœur, en éraflures
Je n’savais pas trop, si j’devais t’écrire
Si ces quelques mots, pouvaient t’faire plaisir
J’ai pris ma plume, puis mon piano,
Toute mon amitié dans l’sac à dos.
Toute mon amitié dans l’sac à dos.
Toute mon amitié dans l’sac à dos.


Paroles et musique : Robert Nicollet.

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