Je n’savais pas trop, si
j’devais t’écrire
Si ces quelques mots,
pouvaient t’faire plaisir
Puis j’ai pris ma plume, et
mon piano,
Toute mon amitié dans l’sac à
dos.
Il est des larmes qui peuvent
faire du bien,
Des paroles en forme de doux
câlin,
Les douleurs d’un cœur qui
est en bataille
Et les plaies d’une vie qui
déraille
Et les plaies d’une vie qui
déraille
Et si tu r’gardes là bas sur
ton île,
Le soleil se l’ver, les
matins fragiles,
Y’a des mouettes, qui
chantent des poèmes,
Pour te libérer, briser tes
chaînes
Le vent s’est levé, sur la
mer d’hiver,
Le froid se réveille, ce jour
de tonnerre,
Mais il y a du feu dans la
cheminée,
Qui t’attend le soir, pour
t’réchauffer…
Qui t’attend le soir, pour
t’réchauffer…
Les vagues sont belles, sur
la mer d’Iroise,
Il y a d’la mousse comme dans
la cervoise
Il n’y a rien d’plus beau,
que la nature
Quand on a l’cœur, en
éraflures
Je n’savais pas trop, si
j’devais t’écrire
Si ces quelques mots,
pouvaient t’faire plaisir
J’ai pris ma plume, puis mon
piano,
Toute mon amitié dans l’sac à
dos.
Toute mon amitié dans l’sac à
dos.
Toute mon amitié dans l’sac à
dos.
Paroles et musique :
Robert Nicollet.
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