On ne sait plus comment
les aider, de l'argent, des biens de première consommation, et puis montrer
qu'on pense à eux, et qu'on est aussi solidaire par le cœur et la pensée... c'est
le simple but de cette vidéo...
Oh ma reine, Dieu que t’es belle de
liberté, Sous ton drapeau bleu et
doré. Toi qui résistes, qui lèves
la tête, Face à la folie des conquête Face aux diktats du mépris, De l’horreur et de la furie. Oh, Ukraine, Oh, ma reine, Dieu que t’es belle de
majesté… Devant ces ruines et leur
fumée, J’entends les bombes qui
t’assassinent, Faisant des civils les
victimes, J’entends les chars et les
avions, Détruire tes immeubles, tes
maisons. Oh, Ukraine, Oh, ma belle, Combien de bâtiments rasés, De théâtres et de musées. Combien d’écoles et
d’hôpitaux, Tous tes chefs d’œuvre, tes
idéaux, C’est ta culture qu’il veut
raser. Détruire tes rêves de
liberté, Liberté. Oh, Ukraine, Oh, ma belle, Ta démocratie, les fait
trembler, Ils ont peur de tes libertés, Tes droits des hommes à
décider, A choisir qui doit gouverner, Des droits à la libre pensée, Lorsque chez eux c’est
censuré. Censuré. Censuré. Oh ma reine, Oh Ukraine, Paroles et musique: Robert
Nicollet.
Elle a des yeux d’un si beau vert, Qu’les miens s’y perdent
souvent J’m’y baigne dans mes hivers, Et mes chagrins foutent
l’camp. Elle a une fine bouche en
cœur, Qu’elle charme toutes mes
pensées, Et quand j’lui parle de
bonheur, Elle pose sur mes lèvres un
baiser. Ma belle, a de douces poésies
dans l’âme, Elle ne s’habille pas comme les
grandes dames, Elle préfère vivre là sans manière, Dans ce deux pièces, rue Baudelaire. Elle a de douces mains de
fée, Des mains qui savent dessiner, Des doigts à fleur de
pinceaux, Lorsqu’elle les pose sur ma
peau. Elle a le souffle des
zéphyrs, La douce chaleur des mots, Qu’elle susurre, plein de
désirs, Dans l’oreille derrière, mon
dos. Ma belle a de douces poésies
dans l’âme, Elle ne s’habille pas comme
les grandes dames Elle préfère vivre là sans
manière, Dans ce deux pièces, rue
Baudelaire. Elle a la voix, des tendres matins, Lorsque l’réveil lui fait des
clins d’oeil Elle me sourit, puis elle me
dit « viens » On se recouche jusqu’à plus
d’heure. Ma belle est là, fragile comme
le verre, Elle a les plaies de sa vie
d’hier, Alors, je suis là, pour penser
à elle, Donner d’l’amour, du soleil. Parce qu’elle a de douces
poésies dans l’âme, Elle ne s’habille pas comme
les grandes dames Elle préfère vivre là sans
manière, Dans ce deux pièces, rue
Baudelaire.