Toi, qui te blottis, dans la
nuit,
Pour border mes rêves
d’envies
Toi qui viens là te froisser,
A la chaleur de mes baisers.
Toi, qui te dresses en
majuscule,
Devant les reflets de la
lune,
Ta silhouette en mal d’amour
Criant aux étoiles tes toujours.
Mon amour se lit, comme un
vers,
Comme un poème, riche de ses
rimes,
Comme une chanson faite pour
te plaire
Qui deviendrait alors notre
Hymne.
On s’est écrit tant de
poèmes,
Pour se bercer de nos
« je t’aime ».
Tant de mots doux, de vers en
flamme
Tant de chansons aux mille
gammes.
On a rêvé de beaux étés,
De soleil, de mer, d’alizés,
Transportés sur notre radeau,
En route pour notre El
Dorado.
Mon amour se lit, comme un
vers,
Comme un poème, riche de ses
rimes,
Comme une chanson faite pour
te plaire
Qui deviendrait alors notre
Hymne.
Le temps s’étire, le temps
s’allonge,
On a du mal à faire des
ponts,
Nos mains tendues, se font
fragiles,
Parce que la vie n’est pas
facile.
Je pense à toi, ma muse
blonde
Tes yeux, tes lèvres,
toujours m’inondent
J’ai dans ma tête, des
souvenirs,
Plein de bonheur, qui
n’peuvent s’enfuir.
Mon amour se lit, comme un
vers,
Comme un poème, riche de ses
rimes,
Comme une chanson faite pour
te plaire
Qui deviendrait alors notre
Hymne.
Alors, ma belle, à la folie
Je t’aimerai plus qu’une
seule vie,
Le temps, l’espace, se font
petits,
Devant cet amour infini.
Mon amour se lit, comme un
vers,
Comme un poème, riche de ses
rimes,
Comme une chanson faite pour
te plaire
Qui deviendrait alors notre
Hymne.
Paroles et musique :
Robert Nicollet.