Merci à Marie Jouannic pour son lieu et son action pour la poésie, pour son écoute envers les artistes...
De tes mains effilées, tu décrochais la lune,
Pour
pouvoir éclairer le sable des dunes,
Qu’on
recouvre d’un drap, quand la nuit s’éveille,
Quand
l’amour prend sa place et devient éternelle.
Elle
berçait les vagues, des mers tranquilles
Elle
calmait les tempêtes, des océans fragiles,
Sur
les ailes des mouettes, elle voyageait souvent,
Accrochée
à leur coeur, prisonnière du temps.
Les
nuages, blessés par ses yeux de soleil
Arrosaient
les enfants de pluie au goût de miel,
Elle
vivait dans la colline, loin de ces hautes futaies,
Son
coeur était si grand que souvent elle s’y perdait.
Elle
venait d’un pays, elle en rêvait parfois,
Où
elle imaginait les chemins d’autrefois,
Quand
les princes chevaliers se battaient pour elle,
Se donnant tout entier, rien que pour toi ma
belle.
Puis
un jour, lassée, par trop de rêves déçus,
Par
trop de souffrances et d’amour déjà vu,
Elle
préféra partir, portée par le vent,
Libérant
les étoiles, d’un fardeau brûlant.
Je
sais que de là-haut, je sais que tu m’entends.
Je
t’envoie de doux « bonjours », avec plein de choses dedans,
J’ai
beau m’accrocher aux rocs de granit,
Ta
voix, ton sourire, et ton corps les effritent.
De
tes mains effilées, tu décrochais la lune,
Pour
pouvoir éclairer le sable des dunes,
Qu’on
recouvre d’un drap, quand la nuit s’éveille,
Quand
l’amour prend sa place et devient éternelle.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
ETERNELLE : comme tes chansons, ce sont des poèmes magnifique. Ils remuent nos sentiments et secouent notre ❤ . MERCI .
RépondreSupprimerMerci Jean-Marie, passe une excellente soirée. Merci aussi pour ta fidélité à mes créations... Reçois toute mon amitié, Robert.
SupprimerJ'apprécie e que tu écris et que tu compose. MERCI
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