CHANSON PRINTANIERE
Démarche créative sur l'environnement de la chanson et de la poésie.
mercredi 9 juillet 2025
lundi 30 juin 2025
Ballade pour Aline Festival de la Tave 2025
Avec Jean Louis Cadoré
dimanche 11 mai 2025
lundi 24 mars 2025
"Autoportrait" et "J'ai mal".
vendredi 7 mars 2025
jeudi 6 mars 2025
mercredi 5 mars 2025
lundi 3 mars 2025
samedi 1 février 2025
Les mots libres
Les mots libres.
Ils errent dans le vent, draguant les esprits libres,
Des poètes en suspens, sur des nuages à rime,
Ils savent s’habiller, de mots couverts de plume,
Des plumes d’humanité, aux douceurs de lune.
Quand un mot s’évade, des prisons, des censures
Le poète lui tend la main, le cajole, le rassure.
Les mots qu’on enchaîne, resteront toujours libres,
Accrochés aux étoiles ils éclairent nos nuits…
Ils éclairent nos nuits…
Dessine-moi un mot, sur le bord de tes lèvres,
Que le souffle qui le porte, me caresse de rêves,
Que ta main soit si douce, effleurant la soie,
Qu’elle écrive des poèmes, comme des éclats de joie
Ils s’envoleront au dessus de nos guerres,
Pour cueillir nos roses, nos colombes, nos lumières.
Les mots qu’on enchaîne, resteront toujours libres,
Accrochés aux étoiles ils éclairent nos nuits…
Ils éclairent nos nuits…
Dépose sur mon cœur, tous ces mots naufragés
De paix, et d’amour, de vie, de liberté,
Efface tes nuages, pour un ciel de cristal
Dont le bleu renaîtra, des noirceurs abyssales,
Pour que jamais plus, le sang coule sur nos têtes,
Pour que jamais plus, la haine nous revienne.
Les mots qu’on enchaîne, resteront toujours libres,
Accrochés aux étoiles ils éclairent nos nuits…
Ils éclairent nos nuits…
mardi 17 décembre 2024
mercredi 4 décembre 2024
vendredi 29 novembre 2024
Vitriol'blues au Marché de Saint Quentin la Poterie...
VITRIOL'BLUES.
Ils enchaînent les poètes, aux durs maillons rouillésDes chaînes des prisons, qu’ils ont prostituées;Leurs barreaux de la honte te gardent prisonnier,Entre ces quatre murs, tes mots, ils ont tués.Ils ont brûlé tes vers, poètes ou écrivains.Tes belles idées se crèvent, comme une peau de chagrin.La liberté se meurt, ses larmes sont de tristesse.Sur le lit de la peur, c’est de l’amour qu’on blesse.La liberté est en dangerLa liberté est bafouée. Ils construisent leur monde, sur leur intolérance,Et leurs discours inondent, les trottoirs de vengeance.Ils baladent leur dégoût, les armes en porte voixSur des êtres à genoux, couverts de désarroi.Ils disent que certains ont la peau qui dérange,Qu’à la couleur du teint, on sait de quoi est l’angeIls savent fragiliser, les mots de la misère,Ces gens venus d’ailleurs, qui traînent leur galère.La liberté est en dangerLa liberté est bafouée. Ils te crachent à la gueule, sur ta fragilité,Un funeste linceul, empli de cruautéEt, si l’on chante encore, derrière les coups de feu,C’est que leurs armes ont tort, et nos mots merveilleux.Amis poètes rêvent, s’ouvrir les prisons,Amis poètes, rêvent, dans les rues les chansons,
Cette nuit de clair de lune, où les étoiles se couvrent,
Des mots de liberté, qu’en rêvant on retrouve,
Des mots de liberté, qu’on aimerait retrouver.Paroles et musique : Robert Nicollet.
dimanche 20 octobre 2024
Ballade pour Aline
1er prix des ACI aux rencontres de la chanson de Caissargues...
Elle chantait des poèmes
Sur les trottoirs mouillés,
Elle écrivait des « je t’aime »
Sur les portes du lycée,
Et sur son jeans délavé,
Il y avait toutes ses idées,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle s’était mise en marche,
Pour la paix au Vietnam,
Pour les bonzes qui cramaient,
Là-bas sur le macadam,
Contre les « B-52 »,
Et tous ces militaireux,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle piquait Charlie hebdo,
Dans les kiosques à journaux,
Il y avait des dessins de Reiser,
Plein ses étagères,
Quand elle ouvrait le Figaro,
C’était pour la chasse d’eau.
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline
Elle s’était mise en marche,
Pour la paix au Vietnam,
Pour les bonzes qui cramaient,
Là-bas sur le macadam,
Contre les « B-52 »,
Et tous ces militaireux,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle piquait Charlie hebdo,
Dans les kiosques à journaux,
Il y avait des dessins de Reiser,
Plein ses étagères,
Quand elle ouvrait le Figaro,
C’était pour la chasse d’eau.
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Une fois le bac dans le sac,
Elle partit à la Fac,
Ses cours d’économie,
Lui bouffaient toute sa vie,
Puis à minuit et demie,
Elle me rejoignait au lit,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle travaille aux finances,
Service des contredanses
Elle commence à huit heures,
Rentre chez elle à cinq heures,
Puis elle allume la télé,
Et elle va se coucher
C’est ce qu’on t’a enseigné
A l’université.
Mais où est ma copine,
Des « Martin Luther King »,
Des combats passionnés,
Où sont tes grandes idées?
Excuses moi quand même,
Si je t’ai fait de la peine,
A manier les souvenirs,
On se rend compte du pire.
Mais, tu chantais des poèmes
Sur les trottoirs mouillés,
Tu écrivais des « je t’aime »
Sur les portes du lycée,
Et sur ton jeans délavé,
Il y avait toutes tes idées,
Tu restes une grande copine,
Toi que j’appelle Aline.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
vendredi 18 octobre 2024
L'enterrement d'un poème - Avignon le 16 Octobre 2024
Ce poème d’Amour tombant sur le sol,
Dans cet automne endeuillé où se brûlent nos alcools
Comme un torrent en furie, comme un ultime soupir,
Le visage de larmes, et la vie qui se déchire.
Il tremble, grelotte, il n’a plus rien à me dire,
Il est nu, dépouillé, sans une rime, il chavire,
Il tombe, se meurtrit, dans cette flaque il se noie,
Poème d’un autre monde, où les poètes étaient rois.
Mais, vivre.... mais vivre...ivre, ivre...d’Amour...
Cet amour abandonné, au coin d’une rue,
Lorsque l’un s’en va, quand l’autre n’est plus,
Ce terminus de jour, qui drague mes nuits,
Qui en font des cauchemars, et des rêves engloutis,
Aux abords de mon port, où survit ta mémoire,
Où les chaloupes clapotent, en crachant notre histoire,
Mon amour naufragé, sur récif en tempête,
Poésie enivrante, à l’impuissante quête.
Mais, vivre.... mais vivre...ivre, ivre...d’Amour...
Dans les crachoirs des temples, où la conscience rôde,
Où les têtes se baissent, comme des saules en maraude
Où la honte se grise, et noircit nos pâleurs,
Habillant nos souvenirs de mensonges charmeurs...
Et, j’entends pleurer, dans le hall des silences
Des cœurs blessés, des cris de résistance
Des heures enlacées de sinistres déchirures
Où les rêves se meurent dans des cachots obscurs.
Mais, vivre.... mais vivre...ivre, ivre...d’Amour...
Mon amour, endormie, sur ce poème en dérive,
Où les mots se battent contre des vers en folie,
Où ton nom résonne comme des coups de tonnerre,
Le soir, arrivant, je compte les éclairs,
Ils me montrent la nuit, comme un jour sans fin,
Ton corps amoureux blotti contre le mien,
Tu me parles tout bas, comme une caresse de mot
Et moi je t’écoute, je te rêve en sanglot.
Mais vivre... mais vivre...ivre, ivre...d’Amour...
Paroles et musique: Robert Nicollet.
jeudi 17 octobre 2024
Les mots libres (dans la rue en face de l'académie des arts à Avignon.
lundi 23 septembre 2024
Film exposition "Soleil bleu".
dimanche 22 septembre 2024
Les belles de nuit
Leurs jupes aux malices artifices,Sur nos désirs toujours complicesElles ont des délices a offrir,A celui qui en a pour jouir, Elles tirent leurs bas, jusqu’au bas-ventre,Leurs fines dentelles dans la lumière,Des doux plaisirs qu’elles nous inventent,Dans de belles lettres étrangères. Elles ont leurs doigts endimanchés,Aux dieux célestes de leurs desseinsLeurs mains aux éventails secretsOnt fait rêver nos lendemains. Elles ont mis des couleurs aux temps,Sur leurs corps nus, à peine éclos.Leurs coquines coquilles croquantDes lieux qu’on dit incognitos. Les yeux en partance pour l’ailleurs,Dans ce cargo, privé d’hublotElles crèvent leur histoire, en plein cœur,Pour accoucher d’Amour frigo.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
vendredi 20 septembre 2024
mardi 17 septembre 2024
l'enterrement d'un poème au Théâtre des marionnettes ( La Barthelasse).
Ce poème d’Amour tombant sur le sol,
Dans cet automne endeuillé où se brûlent nos alcools
Comme un torrent en furie, comme un ultime soupir,
Le visage de larmes, et la vie qui se déchire.
Il tremble, grelotte, il n’a plus rien à me dire,
Il est nu, dépouillé, sans une rime, il chavire,
Il tombe, se meurtrit, dans cette flaque il se noie,
Poème d’un autre monde, où les poètes étaient rois.
Mais, vivre.... mais vivre...ivre, ivre...d’Amour...
Cet amour abandonné, au coin d’une rue,
Lorsque l’un s’en va, quand l’autre n’est plus,
Ce terminus de jour, qui drague mes nuits,
Qui en font des cauchemars, et des rêves engloutis,
Aux abords de mon port, où survit ta mémoire,
Où les chaloupes clapotent, en crachant notre histoire,
Mon amour naufragé, sur récif en tempête,
Poésie enivrante, à l’impuissante quête.
Mais, vivre.... mais vivre...ivre, ivre...d’Amour...
Dans les crachoirs des temples, où la conscience rôde,
Où les têtes se baissent, comme des saules en maraude
Où la honte se grise, et noircit nos pâleurs,
Habillant nos souvenirs de mensonges charmeurs...
Et, j’entends pleurer, dans le hall des silences
Des cœurs blessés, des cris de résistance
Des heures enlacées de sinistres déchirures
Où les rêves se meurent dans des cachots obscurs.
Mais, vivre.... mais vivre...ivre, ivre...d’Amour...
Mon amour, endormie, sur ce poème en dérive,
Où les mots se battent contre des vers en folie,
Où ton nom résonne comme des coups de tonnerre,
Le soir, arrivant, je compte les éclairs,
Ils me montrent la nuit, comme un jour sans fin,
Ton corps amoureux blotti contre le mien,
Tu me parles tout bas, comme une caresse de mot
Et moi je t’écoute, je te rêve en sanglot.
Mais vivre... mais vivre...ivre, ivre...d’Amour...
Paroles et musique: Robert Nicollet.
jeudi 5 septembre 2024
"Ballade pour Aline" au Festival de Charavines 2024.
1er prix des ACI aux rencontres de la chanson de Caissargues...
Ballade pour Aline.
Elle chantait des poèmes
Sur les trottoirs mouillés,
Elle écrivait des « je t’aime »
Sur les portes du lycée,
Et sur son jeans délavé,
Il y avait toutes ses idées,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle s’était mise en marche,
Pour la paix au Vietnam,
Pour les bonzes qui cramaient,
Là-bas sur le macadam,
Contre les « B-52 »,
Et tous ces militaireux,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle piquait Charlie hebdo,
Dans les kiosques à journaux,
Il y avait des dessins de Reiser,
Plein ses étagères,
Quand elle ouvrait le Figaro,
C’était pour la chasse d’eau.
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline
Elle s’était mise en marche,
Pour la paix au Vietnam,
Pour les bonzes qui cramaient,
Là-bas sur le macadam,
Contre les « B-52 »,
Et tous ces militaireux,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle piquait Charlie hebdo,
Dans les kiosques à journaux,
Il y avait des dessins de Reiser,
Plein ses étagères,
Quand elle ouvrait le Figaro,
C’était pour la chasse d’eau.
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Une fois le bac dans le sac,
Elle partit à la Fac,
Ses cours d’économie,
Lui bouffaient toute sa vie,
Puis à minuit et demie,
Elle me rejoignait au lit,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle travaille aux finances,
Service des contredanses
Elle commence à huit heures,
Rentre chez elle à cinq heures,
Puis elle allume la télé,
Et elle va se coucher
C’est ce qu’on t’a enseigné
A l’université.
Mais où est ma copine,
Des « Martin Luther King »,
Des combats passionnés,
Où sont tes grandes idées?
Excuses moi quand même,
Si je t’ai fait de la peine,
A manier les souvenirs,
On se rend compte du pire.
Mais, tu chantais des poèmes
Sur les trottoirs mouillés,
Tu écrivais des « je t’aime »
Sur les portes du lycée,
Et sur ton jeans délavé,
Il y avait toutes tes idées,
Tu restes une grande copine,
Toi que j’appelle Aline.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
dimanche 12 mai 2024
Festival " le Mois de la Poésie" - La Princesse des sables -
vendredi 26 avril 2024
Ballade pour Aline
Au Bistrot des sales gosses...
Elle chantait des poèmes
Sur les trottoirs mouillés,
Elle écrivait des « je t’aime »
Sur les portes du lycée,
Et sur son jeans délavé,
Il y avait toutes ses idées,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle s’était mise en marche,
Pour la paix au Vietnam,
Pour les bonzes qui cramaient,
Là-bas sur le macadam,
Contre les « B-52 »,
Et tous ces militaireux,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle piquait Charlie hebdo,
Dans les kiosques à journaux,
Il y avait des dessins de Reiser,
Plein ses étagères,
Quand elle ouvrait le Figaro,
C’était pour la chasse d’eau.
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline
Elle s’était mise en marche,
Pour la paix au Vietnam,
Pour les bonzes qui cramaient,
Là-bas sur le macadam,
Contre les « B-52 »,
Et tous ces militaireux,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle piquait Charlie hebdo,
Dans les kiosques à journaux,
Il y avait des dessins de Reiser,
Plein ses étagères,
Quand elle ouvrait le Figaro,
C’était pour la chasse d’eau.
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Une fois le bac dans le sac,
Elle partit à la Fac,
Ses cours d’économie,
Lui bouffaient toute sa vie,
Puis à minuit et demie,
Elle me rejoignait au lit,
C’était une grande copine,
Elle s’appelait Aline.
Elle travaille aux finances,
Service des contredanses
Elle commence à huit heures,
Rentre chez elle à cinq heures,
Puis elle allume la télé,
Et elle va se coucher
C’est ce qu’on t’a enseigné
A l’université.
Mais où est ma copine,
Des « Martin Luther King »,
Des combats passionnés,
Où sont tes grandes idées?
Excuses moi quand même,
Si je t’ai fait de la peine,
A manier les souvenirs,
On se rend compte du pire.
Mais, tu chantais des poèmes
Sur les trottoirs mouillés,
Tu écrivais des « je t’aime »
Sur les portes du lycée,
Et sur ton jeans délavé,
Il y avait toutes tes idées,
Tu restes une grande copine,
Toi que j’appelle Aline.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
lundi 25 mars 2024
Femme à Cuba (concert en appartement)
Merci pour l'organisation et la gentillesse de Daniella Coletta...
Mes yeux perchés sur tes soleils,
J’entends ta voix, ton cœur chanté
Femme de Cuba, femme du réveil
Tes mots, ta joie, tes libertés.
De Santiago à La Havane,
Ondule tes rythmes, marque tes pas
Sous ton ciel bleu, lumières safranes
Ouvre ton âme, ouvre tes bras.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba.
Sur ta musique, la magie sonne
Dans mes entrailles, mes convictions
A tes paroles, mon cœur résonne,
Femme de charme, femme des passions
Dans ton combat, la vie est dure
Mais ton sourire, est des plus beaux
Femme de Cuba, Femme d’azur
Montre-moi la route, je ne sais plus trop.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba
Les enfants jouent dans les ruelles
Leurs rires les portent jusqu’à la nuit,
Il n’y a pas d’ombre, ni sentinelle,
Le jeu, la vie, sont grands amis,
Si le silence des clairs de lune
Trouve tes beaux yeux, ange du soir
C’est pour effeuiller une à une,
Les phrases d’amour, les cris d’espoir.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba.
Je garderai de mon voyage
De belles images où tu seras
Femme aventure, femme courage
Je sais toujours que tu vaincras.
Ce grand pays, que tu construis
C’est des sourires, et pleins d’amour,
Cette belle île, un paradis,
Où l’amitié, c’est pour toujours.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba.
Cette chanson, elle est pour toi,
Femme d’Amour, et du combat
Démocratico, y Libertad.
Femme infinie, femme à Cuba.
Femme infinie, femme à Cuba.
Femme infinie, femme à Cuba.
Paroles et musique: Robert Nicollet.
vendredi 22 mars 2024
"La ballade du trottoir" et La fille aux yeux cristal" à la terrasse d'un bistrot.