Je t’écrirai sur nos draps
d’arc en ciel,
Des mots d’amour, et de
soleil.
Des mots sucrés, au goût d’amandes grillées,
Que je porterai à tes lèvres.
Puis, sur tes épaules dénudées,
Je déposerai milles baisers,
Comme des colliers de perles nacrées.
J’irai sur ta peau veloutée
Sur tes doux chemins brodés,
De tes fragiles voluptés.
Je t’aime, je t’aime…
Libérer ta longue chevelure
dorée,
Pour qu’elle s’abandonne amourée
Au fil du dos, dans le creux de tes reins,
Et qu’elle te couvre de mes matins.
Puis, je partirai en balade,
Sur tes collines en croisade
Cherchant ta lune comme héritage.
Toujours fidèles à notre radeau,
Bravant les tempêtes, et les eaux
Pour atteindre notre Eldorado.
Je t’aime, je t’aime…
Puis, sur nos draps de soie
froissés,
Amoureux fous, entrelacés,
Jusqu’à l’ultime souffle du désir,
Je serai là, pour te séduire.
Et, si le temps va bien trop vite,
Oublions la marche des aiguilles,
Restons ici, tous deux blottis.
Sentir la chaleur de ton souffle
Lorsque ton corps m’emmitoufle,
Et que la nuit s’habille du jour.
Je t’aime, je t’aime…
Paroles et musique :
Robert Nicollet.
Des mots sucrés, au goût d’amandes grillées,
Que je porterai à tes lèvres.
Puis, sur tes épaules dénudées,
Je déposerai milles baisers,
Comme des colliers de perles nacrées.
J’irai sur ta peau veloutée
Sur tes doux chemins brodés,
De tes fragiles voluptés.
Je t’aime, je t’aime…
Pour qu’elle s’abandonne amourée
Au fil du dos, dans le creux de tes reins,
Et qu’elle te couvre de mes matins.
Puis, je partirai en balade,
Sur tes collines en croisade
Cherchant ta lune comme héritage.
Toujours fidèles à notre radeau,
Bravant les tempêtes, et les eaux
Pour atteindre notre Eldorado.
Je t’aime, je t’aime…
Amoureux fous, entrelacés,
Jusqu’à l’ultime souffle du désir,
Je serai là, pour te séduire.
Et, si le temps va bien trop vite,
Oublions la marche des aiguilles,
Restons ici, tous deux blottis.
Sentir la chaleur de ton souffle
Lorsque ton corps m’emmitoufle,
Et que la nuit s’habille du jour.
Je t’aime, je t’aime…